Témoignage et résultats Olivier Larue Les résultats sont là, les rendements aussi Céréalier / légumes industriels / veaux d'engraissement 2016 LANDRETHUN LÈS ARDRES 62610 Nord Culture/Production Olivier Larue, à Landrethun-lès-Ardres (62). Il cultive, sur 90 hectares, du blé tendre d’hiver, colza, betteraves sucrières, pois de conserve, lin fibre et plants de pommes de terre. Il possède un atelier de 90 veaux d’engraissement. Il est Installé depuis 2001 sur l’exploitation familiale. Produit/Usage Bactériosol concentré (depuis 2011) / Fertilisation des sols, transformation des couverts végétaux Témoignage Dans le concept SOBAC depuis six ans, Olivier Larue sort toujours de bons rendements, que ce soit en blé ou en pommes de terre. Et ses terres continuent à s’améliorer. " Mon père était en conventionnel et en m’installant, j’ai travaillé avec un concurrent de la SOBAC. J’étais déjà dans une recherche écologique en partant du principe que tous les éléments sont dans le sol et ne sont pas forcément assimilables par les plantes. A un moment, je me suis tourné vers la SOBAC. Avec Bactériosol, on ensemence des micro-organismes, on transforme ses engrais verts en humus et les résultats sont là, les rendements aussi En plants de pommes de terre, en moyenne je fais de 30 à 40 tonnes/hectare. Je trouve que c’est bien ! Je fais des analyses de sol une fois tous les 3 ans sur les parcelles et tout se porte bien. On a fait un profil de sol et on a vu de gros changements. Une couleur plus naturelle, une meilleure porosité, un sol qui sent bon, des galeries de vers en pagaille. Dernièrement, une entreprise qui travaille pour le Ministère, qui fait des profils de sol dans toute la France pour en connaître les textures, m’a contacté. Je leur ai dit qu’ils pouvaient venir chez moi. Le gars qui a fait le profil m’a dit: " Ben dites donc, vous labourez rudement profond ". Je lui ai répondu que je ne labourais plus. Il n’en revenait pas. Je suis en sixième année d’utilisation de Bactériosol et le sol est beaucoup plus léger, beaucoup moins tirant avec les outils, il est décompacté En période de grosses précipitations, la terre filtre mieux l’eau qui ne stagne plus.En blé, il y a beaucoup moins d’échaudage. Les racines descendent plus profondément dans le sol. Les années sèches, je mets peu de fongicides et ça ne pose pas de problème. En pommes de terre, je trouve que j’ai une belle clarté par rapport à avant. Aujourd’hui, je n’ai plus besoin de faire de profils de sol, je suis totalement convaincu par le concept. On va s’améliorer doucement en mettant des engrais verts sur toutes nos parcelles. Je fais du non labour pour mon portefeuille mais aussi pour la couche d’ozone même si à mon échelle, c’est infiniment petit. Sur les moyennes de mon centre de gestion concernant la consommation de gasoil, elle est de 150 euros à l’hectare et moi je suis à 70 euros. Avant sur les parcelles je regardais l’effet visuel en surface, maintenant je regarde l’effet en profondeur, avec la bêche dans les champs.Je suis responsable vis-à-vis de l’environnement, sur mes terres, le Bactériosol c’est pareil, c’est un mode écologique, naturel. " Résultats Olivier Larue utilise le Bactériosol depuis 2011 sur ses terres céréalières et a constaté de gros changements au niveau de la structure du sol avec des rendements importants. Meilleure transformation des engrais verts en humus. Rendements importants. Meilleure porosité du sol, plus de vie, meilleur décompactage. Meilleure infiltration. Meilleur développement racinaire. Résultats du profil de sol réalisé à l'EARL Ste Claire, chez M. Larue, céréalier (62).