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Témoignages et résultats

Témoignage
Serge Griotto , céréalier BIO , utilisateur Bactérisole dans les Bouches-du-Rhône (13)
Biologique
Serge Griotto
J’ai gagné un point de poids spécifique sur le grain
Céréalier BIO
2015
Arles
13200
Bouches-du-Rhône

Culture/Production

Serge Griotto, céréalier 100 % Bio depuis 1981 à Arles (Bouches-du-Rhône 13), il a 50 hectares en céréales stockées et vendues directement. 

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2014) / Pour la fertilisation naturelle de ses 50 ha de céréales BIO.
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Témoignage

Avec une seule année de recul dans le procédé SOBAC, Serge Griotto, céréalier bio aux portes d’Arles, livre ses premières constatations.

" Je suis convaincu depuis des dizaines d’années de l’approche qu’a la SOBAC et comme je suis curieux de nature, j’ai décidé d’essayer.
Ça va exactement dans le sens de la philosophie que j’ai de mon métier et de mes sols depuis très longtemps. Je fais du Bio mais je suis aussi soumis à des résultats.

 

La SOBAC présente un produit qui permet de valoriser le potentiel du sol, c’est ce que je recherche


J’ai fait les premiers essais l’an dernier. Malheureusement, les conditions climatiques ne nous ont pas permis de retirer le maximum qu’on aurait pu espérer. Mais ça a déjà laissé supposer que dans le temps il y avait des évolutions intéressantes.
Malgré des conditions météo catastrophiques avec des essais effectués dans la boue, de l’application à la récolte, j’ai vu deux choses essentielles : sur les parties témoin, les pailles qui avaient été enfouies étaient moins décomposées que dans les parties Bactériosol ou la décomposition était plus importante ce qui signifie que le sol était en train de travailler. 
Un deuxième élément a été mesuré, concernant la qualité du produit fini, en l’occurrence du blé tendre. Par rapport aux témoins, sur la partie Bactériosol.

 

 j’ai gagné un point de poids spécifique sur le grain

 

J’avais des grains qui étaient à 80 et les autres étaient à 79. Ça, ça a été mesuré.
Après, ce sont des impressions qui demandent à être confirmées dans le temps et avec de meilleures conditions. 
Quand j’ai fini mes études, mon père déjà n’utilisait plus d’engrais chimiques depuis quatre ou cinq ans. Il ne travaillait qu’en organique. En fait, il faisait déjà un peu du bio sans le savoir. Quand je suis arrivé, on a pris un autre axe, c’est à dire que toute la production faite sur la propriété était commercialisée. La valorisation des parcelles a toujours été présente dans la démarche familiale.

 

Des premières observations très positives

 

Le procédé SOBAC s’adresse bien sûr aux Bios mais aussi à ceux qui veulent aller vers quelque chose de plus raisonné et de plus raisonnable.
Avec les changements de climat, avec des cultures qui se comportent différemment, le procédé SOBAC est intéressant pour compenser des choses qui se faisaient plus ou moins naturellement


Quand j’ai commencé ma carrière agricole, quand vous parliez du Bio à l’Inra, vous preniez un coup de fusil. Quinze ans plus tard, vous aviez le droit de rentrer dans le couloir et aujourd’hui, du jour au lendemain quand vous dites « Bio » c’est « Sésame, ouvre-toi ». A l’Inra, maintenant toutes les portes s’ouvrent. L’évolution s’est faite sur 35 ans. Actuellement, on est dans le décalage normal entre la réalité terrain et l’administration bureaucratique. Ce qui est enseigné dans les lycées  agricoles, ce sont des choses bien précises qu’il ne faut pas bousculer, ça remettrait trop de choses en cause. 
Le poids du lobby chimique, la lourdeur de l’administration et le manque de réactivité font qu’on est dans la situation où l’on est actuellement. 

 

Le procédé SOBAC fait partie d’un mouvement qui est un mouvement de fond

 

Après, il faut faire attention à ne sortir que des choses qui sont avérées. C’est pour ça que je me montre prudent parce que je n’ai pas assez de recul dans le système SOBAC. Mais je le répète, les premières observations sont très positives.  Dans la limite où les choses avancées sont confirmées, ce procédé fera partie intégrante des façons de cultiver dans les années qui viennent. 
Théoriquement, je vais continuer mais avec des comparatifs. J’aime bien comparer.

Il n’y a aucun élément aujourd’hui qui m’inciterait à arrêter mon aventure avec la SOBAC. "
 

Résultats

Il utilise du Bactériosol depuis 2014 sur ses céréales afin du continuer sa démarche de fertilisation naturelle

 

  • Valorisation du potentiel du sol.
  • Décomposition plus importante.
  • Un sol qui travaille mieux.
  • Gain d'un point de poids spécifique sur le grain.