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Témoignages et résultats

Témoignage
Famille Van Dooren, éleveurs ovins
Dirk et Catherine Van Dooren
Nous sommes passés de 100 T à 10 T d'azote
Éleveurs ovins et maraîchers
2022
Cindré
03220
Allier

Culture/Production

Dirk et Catherine Van Dooren sont éleveurs ovins et maraîchers dans l'Allier.

L'exploitation : 220 brebis. 196 ha dont 100 ha d’herbe, le reste en grand épeautre, blé, méteil grains, triticale, féveroles, fraises et pommes de terre.

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2017) / Pour développer la fertilité des sols naturellement.
  • Bactériolit (depuis 2017) / Pour valoriser les effluents d'élevage

Témoignage

Dirk et Catherine Van Dooren ont démarré l’agriculture dans leurs fermes familiales respectives, en Belgique, au milieu des années 2000. Près de 200 ha de terres matraquées par les intrants chimiques. Puis s’installent en 2014 dans l’Allier sur près sde 200 ha, matraquées par les intrants chimiques. En 2017, leur chemin croise celui de SOBAC en 2017. Une renaissance.

Famille Van Dooren, éleveurs ovins et maraîchers.

Dirk : « Les terres avaient été très malmenées pendant des dizaines d’années. L’état des sols était catastrophique.

 

Catherine : C’était 100 % céréales avec du stockage à la ferme pour 1 500 t. On fait les récoltes, on vend tout, on fait le total et on remarque qu’on devient salariés des coopératives et ça je n’ai pas voulu.

 

Dirk : On a tout de suite mis une partie des terres en luzerne pour les reposer. En 2017, Jean-Pierre Pacaud qui travaillait avec SOBAC m’a dit : « Ta terre, elle pue ». Je lui ai dit que je savais bien que j’avais un gros problème dans mes sols et que plus rien ne fonctionnait. Il m’a dit : Je vais faire venir quelqu’un de chez SOBAC. On a accroché tout de suite avec leur vision des choses. Ce qui nous a séduits c’est l’idée de redonner vie à la terre, de revoir les vers de terre.

A la base, nous n’étions déjà pas très chimie et quand on était à 100 % en céréales, le fait d’acheter de l’azote, des fongicides, des désherbants, tout ça nous rendait déjà malades.

 

Catherine : On voulait sortir de ce système mais on ne savait pas comment.

 

NOUS SOMMES PASSÉS DE 100 T À 10 T D’AZOTE

 

Dirk : Sébastien nous a dit « il faut arrêter, tu mettras du BACTÉRIOSOL ça ne te coûtera pas plus cher, tu vas remettre de la vie dans tes sols et tes fourrages seront de meilleure qualité. »

C’est exactement ce qu’on recherchait. On a arrêté tout de suite l’azote. Quand nous sommes arrivés, on achetait 100 t d’azote par an et 70 t de chaux. Aujourd’hui, il n’y a plus que 10 t d’azote sur 200 ha et la chaux est supprimée. On n’utilise plus de fongicide non plus, on a remplacé par du purin d’ortie.
Quand on a commencé avec BACTÉRIOSOL en 2017, très vite à la bêche on voyait la terre changer. C’était tout blanc, plein de champignons alors qu’avant c’était ferrugineux, ça restait rouge.


Catherine : L’année suivante, on avait fait du maïs sur une parcelle avec une moitié SOBAC et l’autre sans.

Il y a beaucoup de mauvaises plantes qui sont parties naturellement et de bonnes plantes qui sont revenues telles que le lotier ou la minette.

Et maintenant, on met BACTÉRIOSOL dans nos prairies.

 

Dirk : En 2ème année, en 2018, nous avons fertilisé à 100 % nos sols avec BACTÉRIOSOL.

 

En céréales, on a augmenté les rendements. On était à 35/40 qtx/ha et là, on a fait 60/70 qtx/ha avec moitié moins d’azote

 

Les grains du blé sont plus lourds, nous avons de bons poids spécifiques cette année. Le grain est magnifique. Nous avons moins de maladies sur les céréales qu’on réussit bien.

 

Catherine : La terre a retrouvé sa friabilité. On le voit bien à l’usure du matériel. Quand nous sommes arrivés, quand il tombait 5 mm d’eau il y avait des flaques partout sur les parcelles. Aujourd’hui, on n’a plus ce phénomène. L’eau s’infiltre dans le sol, c’est flagrant l’amélioration de la porosité.

Après les féveroles, si vous prenez les mottes, elles sont toutes perforées, très friables. On voit que ça se réorganise naturellement.
Vu l’état de nos sols au départ, je me disais qu’on allait se tirer une balle dans le pied en faisant un profil de sol au bout de 3 ans d’utilisation de BACTÉRIOSOL. Déjà, il n’y avait plus de différences de pH entre les horizons sur le profil SOBAC et il y avait des galeries de vers jusqu’à deux mètres de profondeur. La couleur de la terre n’était plus la même non plus. Par rapport au TÉMOIN, il y avait une grosse différence. Nous faisons de la vente directe à la ferme, dans les drives et au marché. Les clients nous parlent du goût et nous disent que question conservation, il n’y a pas de comparaison.

 

Je ne sais pas ce que nous serions devenus sans SOBAC. Je ne sais pas comment on aurait fait pour restaurer l’état de nos sols


Cette année, il n’a pas arrêté de pleuvoir mais sur les céréales, sur les épeautres, on a de très bons résultats. Le gars qui me les a triés n’avait jamais vu de l’épeautre aussi beau.

 

Dirk : En herbe, je fais plus de rendements qu’avant avec de l’azote. Aujourd’hui, on a l’esprit tranquille, l’argent qu’on ne met plus dans l’azote, on le place sur le long terme avec les produits SOBAC.

 

Catherine : On a beaucoup de brebis sur très peu d’hectares. Au départ, on avait 100 brebis et aujourd’hui sur le même parcellaire nous en avons 220. Nous avons doublé notre chargement en brebis à l’hectare. La ration est riche et donc elles consomment moins mais meilleur !
On utilise aussi BACTÉRIOLIT pour les litières. L’ambiance générale est forcément meilleure.
On a un ensemble qui tourne bien. On a déjà trouvé une sorte de rythme de croisière après seulement 4 ans.

 

Résultats

  • Fourrages de meilleurs qualité
  • Augmentation des rendements de céréales avec moitié moins d'azote
  • Réduction significative d'utilisation d'azote
  • Beaucoup moins de mauvaises herbes
  • L'ambiance générale (en bâtiment) est meilleure
  • Une amélioration flagrante de la porosité des sols
  • De supers retours de nos clients concernant le goût et la conservation de nos légumes
  • Un sol plus riche, plus vivant