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Témoignages et résultats

Témoignage et résultats
Nicolas Legentil, éleveur bovins lait
Nicolas Legentil
On a augmenté la production de lait de 6%
Éleveur bovins lait
2022
Brémoy
14260
Calvados

Culture/Production

PRÉSENTATION :

4 associés : les parents Alain et Régine et les 2 frères Nicolas et Emmanuel, installés en 2005 et en 2008. 330 ha de SAU dont 150 ha de cultures de ventes, 120 ha de blé tendre et 30 ha de colza. 90 ha de maïs dont 27 ha de maïs épi et 63 ha de maïs ensilage, 80 ha d’herbe.

120 vaches Prim’Holstein. 1 200 000 litres de lait à produire.

170 taurillons vendus à l’année

Produit/Usage

  • Bactériolit (depuis 2014) / Pour valoriser les effluents d'élevage
  • Bactériosol concentré (depuis 2014) / Pour augmenter la fertilité naturelle des sols
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Témoignage

Nicolas Legentil, éleveur bovins

Le père de Nicolas Legentil a connu Jean-François Heudier, technico-commercial de SOBAC en Normandie lors d’une formation à la Chambre d’Agriculture. Le lien était fait et aujourd’hui l’exploitation de Brémoy est bien installée en BACTÉRIOLIT. Dès le départ, il a ensemencé avec BACTÉRIOLIT tous les effluents d’élevage. Avec 7 ans de recul, sur la santé animale et le lait, les résultats sont concluants.

 

Vu la conjoncture, valoriser au mieux nos fumiers et lisiers, capter l’ammoniac dans les bâtiments, ça nous tenait à cœur. Tout cela a joué dans notre prise de décision.
On est partis sur 3,5 t de BACTÉRIOLIT. La première chose que nous avons observée, c’est la réduction des émanations d’ammoniac dans les bâtiments. Ça a été net, dès le premier hiver.

« Toute l’exploitation est couverte maintenant avec des fumiers ensemencés avec BACTÉRIOLIT ou BACTÉRIOSOL. Sur le travail du sol, la structure a changé. Nous nous rendons compte que la terre est moins dure à travailler. 

 

ON A AUGMENTÉ LA PRODUCTION DE LAIT DE 6 %

 

Depuis 2-3 ans, on remarque l’impact sur la qualité des fourrages et ça se répercute sur l’état général du troupeau et sur la production de lait. On a fait une analyse de fourrages au moment des portes-ouvertes. On a repris tous nos comptes depuis 2011, 4 ans avant l’utilisation des produits SOBAC, et jusqu’à 4 ans après. On se rend compte qu’on a augmenté la production de lait de 6 % tout en réduisant la surface fourragère de 11 % ainsi que le coût de concentré.

 

Le maïs est plus riche en amidon, en UFL, plus digestible. Il reste plus vert et est plus sucré. Nous avons arrêté les engrais sur maïs. Seuls les animaux d’élevage pâturent, les taurillons et les vaches laitières sont en zéro- paturage. Le maïs est le fourrage majoritaire.
 Si le fourrage est bon, la santé du troupeau est meilleure. Sur le maïs, nous avons de plus en plus de stocks. On peut en déduire qu’on fait plus de lait avec moins de maïs.

Mon frère Emmanuel était le moins chaud. Et il a pourtant été le premier à remarquer que les mouettes étaient revenues derrière la charrue et qu’il y a avait des vers de terre.

 

ON A AUGMENTÉ LA DENSITÉ LAITIÈRE À L’HECTARE DE 1 500 LITRES

 

Les fumiers ne sont pas durs à travailler et l’épandage des lisiers est moins désagréable. Depuis 7 ans avec SOBAC, au niveau santé animale, on a réduit les frais vétérinaires. Les vaches, quand elles vont bien, elles s’expriment à travers le lait. Il y a plus de lait, il y a moins d’acidoses parce que les rations sont mieux équilibrées. Le poil est beau, on n’a pas de mal à les maintenir en bon état.
Les vaches produisent en moyenne 5 kg de lait en plus par jour. On a augmenté la densité laitière à l’hectare de 1 500 litres en 4 ans sans augmenter les concentrés. C’est une mise en harmonie entre SOBAC, la génétique et le travail des éleveurs.
Si on s’engage, il faut le faire à fond
. Aujourd’hui, je ne me verrais pas arrêter.
 

SUR LES TAURILLONS, ON A GAGNÉ 15 KG EN POIDS DE CARCASSE

 

On a fait un profil de sol sur l’exploitation. J’ai été surpris par l’homogénéité du pH sur toute la hauteur par rapport à la fosse témoin. La couleur de la terre, le brassage des horizons, tout était surprenant. C’est intéressant de le faire sur ses terres. C’est une confirmation de tout le bien qu’on peut penser du procédé.
J’estime que travailler pour l’environnement, ça fait partie de l’essence même de notre métier. Si on fait tout cela, c’est aussi par rapport à notre bilan carbone, comme tous les agriculteurs nous sommes sensibles à la protection de la nature.
 

Une terre qui est plus facile à travailler, c’est qu’elle vit. Une terre qui vit, c’est une terre qui produit. Cette année au niveau du rendement en blé on n’a pas « pété » les scores mais tout a été homogène à 3 ou 4 q près. On n’a plus de décrochage comme avant.
Sur les taurillons, l’indice de consommation s’est amélioré. Avant on les vendait à 430- 435 kg, maintenant on est plutôt à 450 kg. On a gagné 15 kg en poids de carcasse. »

 

Résultats

Utilisateur de BACTÉRIOLIT pour valiser les effluents, depuis 2014.

  • Meilleure santé des animaux
  • Économie sur les frais vétérinaires
  • Qualité des fourrages
  • Moins d’odeurs sur les lisiers et fumiers
  • Augmentation de la production de lait par hectare et du poids carcasse des taurillons