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Témoignages et résultats

Témoignage
Qualité, quantité, rentabilité : je suis pleinement satisfait !
Philippe Meneret
Qualité, quantité, rentabilité : je suis pleinement satisfait !
Viticulteur/céréalier/arboriculteur
2021
Saint-Eugène
17240
Charente-Maritime

Culture/Production

Philippe Meneret est un viticulteur à Saint-Eugène, Charente-Maritime. Sa ferme s'étend sur 17 ha dont 15 ha en production et 8 ha de céréales. Installé depuis 1986

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2013) / Pour améliorer la fertilisation de ces vignoles
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Témoignage

7 ans déjà que Philippe Meneret fertilise son vignoble en BACTÉRIOSOL, encouragé par des résultats probants dès la première année.

Qualité, quantité, rentabilité  je suis pleinement satisfait

" Avant les années 80, il y avait des vaches sur l’exploitation qui fournissaient l’humus pour les vignes. Sept ans après l’arrêt de l’élevage, je me suis aperçu que je plafonnais dans mes rendements. Ça me choquait d’en arriver à mettre 100 unités d’azote, en plus sans avoir de résultats.


J’ai lu dans un journal régional un reportage sur un producteur de maïs qui travaillait avec SOBAC et j’ai cherché à le joindre. En 2013, Solène, la technico-commerciale est passée. J’ai fait tout de suite un essai avec BACTÉRIOSOL sur 2,5 ha et dès la première année la vigne s’est lâchée.

 

Dès le débourrement, la croissance a été plus régulière, les vendanges aussi.

 

En termes de volume, les raisins étaient mieux développés, de plus jolie taille. Les bois étaient plus sains.

 

Dès la 2ème année, tout était ensemencé avec BACTÉRIOSOL et j’ai baissé l’azote à 60 unités. Je ne veux pas baisser plus car on nous demande de gros rendements.

 

« 160 HL/HA CONTRE 130 DE MOYENNE DANS LE CANTON »

 

Je fais régulièrement 160 hl/ha à 10° alors que j’ai des coteaux avec peu de terre. Sur le canton, la moyenne doit être autour de 130. Cela fait déjà 2 à 3000 € de plus à l’hectare. Au niveau des sols, je broie mes bois à la taille et maintenant tout disparaît d’une année sur l’autre. La vie dans le sol a repris le dessus.

 

L’œnologue est venu chercher le moût pour voir s’il avait assez d’azote. Je suis à saturation naturellement depuis que je travaille avec BACTÉRIOSOL. L’œnologue était surpris parce que c’est rare. Il a noté : « Ajout de sulfate d’ammonium inutile pour ce moût ».

Les sols sont plus faciles à travailler, même avec 30 mm de pluie, l’eau s’écoule et pénètre plus facilement dans le sol. La terre est plus fine, plus friable.

 

« EN PÉRIODE DE SÉCHERESSE, LES VIGNES NE SOUFFRENT PLUS »

 

Et en période de sécheresse, les vignes ne souffrent plus. On sent qu’elles n’ont qu’une envie, c’est de pousser et il n’y a plus de stress hydrique.

 

Au niveau des maladies d’hiver, avant, avec l’esca, je remplaçais 250 pieds par an. Aujourd’hui, j’en suis à 120 (soit 10 pieds /ha), quand certains sont à 3 ou 400 pour la même surface. Les pieds expriment un peu la maladie puis elle disparaît. La plante a trouvé un équilibre. Au niveau de la chlorose ferrique qui est un blocage du fer dans le sol dû à un excès de calcaire, avec 10 kg/ha, j’ai diminué par deux le traitement au chelate de fer.

 

Une année sèche n’impacte plus ma production. Je sais où je vais et ça sécurise. Ici, en production de Cognac, nous avons le droit à une réserve climatique qui sert si les aléas climatiques le nécessitent. Je ne m’en sers pas. Mon comptable me dit qu’avec mes 15 ha qui produisent, on peut me comparer en production et en marge à quelqu’un qui a 20 ha.

 

Je vais évidemment continuer à appliquer du BACTÉRIOSOL et baisser encore en produits phytos. Je suis classé HVE (Haute Valeur Environnementale), et à la coopérative, je fais partie d’un groupe « Vigilance » où je mesure la pousse de la vigne toutes les semaines pour optimiser les traitements.

« DES BOIS PLUS SAINS AU MOMENT DE L’AOÛTEMENT »

 

Je suis en cultures très raisonnées. Quand je replante des vignes, je mets BACTÉRIOSOL un an avant la plantation et après j’en mets tous les ans. En 2ème année, on dirait la 3ème année de ceux qui sont en conventionnel. Et en 3ème année, elles produisent et ne souffrent pas.

 

Les bois sont beaucoup plus sains au moment de l’aoûtement qui se fait mieux. Ma fille Camille qui a 22 ans, a décidé de reprendre l’exploitation derrière moi. Je suis tellement heureux de savoir que cet outil va être pérennisé. »

DES BOIS PLUS SAINS AU MOMENT DE L’AOÛTEMENT