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Témoignages et résultats

Témoignage
David Poyet, éleveur de charolaises, dans le Rhone.
David Poyet
Être le plus autonome possible
Éleveur de charolaises
2019
Amplepuis
69550
Rhône

Culture/Production

David Poyet est éleveur de charolaises à Amplepuis (Rhône); A la base, installé en GAEC avec les parents et depuis 2007, seul sur l’exploitation. L'exploitation : 128 hectares dont 5 ha en maïs et le reste en prairies / troupeau charolais de 165 UGB / sélectionneur charolais spécialisé dans le gène sans cornes.  

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2014) / Pour augmenter la fertilité des sols naturellement.
  • Bactériolit (depuis 2014) / Pour valoriser les effluents d'élevage
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Témoignage

C’est au niveau de la résistance à la sécheresse et de la santé des veaux que David Poyet a vu le plus de changements. Il dit aussi avoir gagné en confort de vie.

Je composte mon fumier depuis quinze ans. Comme je ne suis pas du genre à foncer tête baissée, quand on m’a parlé de la SOBAC, j’ai voulu lire des témoignages et échanger avec des utilisateurs. J’ai aussi appelé des éleveurs dans l’Allier et ailleurs.

 

Tous ne m’en ont dit que du bien

 

Je suis parti sur dix hectares de prairies la première année et dès la deuxième, j’ai trouvé mes prairies plus vertes au printemps. Quand la sécheresse est arrivée, j’ai trouvé que les vaches se comportaient mieux. Elles ne maigrissaient pas comme avant. Je sentais qu’il y avait plus de qualité dans ce qu’elles mangeaient.
Aujourd’hui, j’ensemence 90 hectares avec Bactériosol et le reste est du fumier composté cependant, je vais commencer à ensemencer l’ensemble de mes litières avec Bactériolit mais on ne peut pas tout faire en même temps. J’en ai d’ailleurs pris 600 kilos pour les veaux et tous les problèmes de cordon ont disparu. Et au niveau pulmonaire, je n’ai traité que 3 veaux sur 80 vêlages. 


Heureusement qu’autour nous sommes cinq à travailler avec la SOBAC. C’est important de ne pas se sentir seul quand on change sa façon de travailler.
Je fais des vêlages groupés et il faut donc éviter au maximum les problèmes. C’est ce qui va me faire passer en Bactériolit l’an prochain afin d’avoir une meilleure qualité au niveau sanitaire. De toute façon, je vois bien que ce concept marche. J’ai déjà remarqué qu’il y a beaucoup plus de turricules de vers de terre sur les parcelles fertilisées avec Bactériosol et le sol est beaucoup plus souple. On voit que c’est sec mais ça a envie de pousser. On sent qu’il ne faudra pas grand-chose pour que ça reparte. 
Je suis plus éleveur qu’agronome et je regarde avant tout le comportement des animaux. Même s’il n’y a pas longtemps que j’ai changé ma méthode de travail, je vois que les vaches restent en état plus longtemps.

 

Je sens que ce procédé est bon pour elles

 

Un de mes buts, c’est d’être le plus autonome possible et que les bêtes valorisent l’herbe le mieux possible sur les huit mois de pâtures. 
J’ai le sentiment de travailler dans le bon sens face aux enjeux climatiques, je me sens plus serein. J’ai aussi l’impression de me faciliter la tâche en travaillant avec le Bactériosol en septembre et de me dire qu’après c’est fini. On a besoin de ce confort de vie aussi. 
Savoir qu’on accélère la création d’humus dans les sols, c’est rassurant quand même. Je sais que je ne suis pas loin du bio et je me demande si inconsciemment je ne me suis pas tourné vers la SOBAC dans cette optique.
J’ai trouvé la bonne philosophie et ce sera encore plus harmonieux quand je travaillerai avec Bactériolit. D’un point de vue sanitaire, je n’ai que de bons retours chez les utilisateurs. 
Je déplore quand même que la Chambre d’Agriculture n’évolue pas plus vite car, j’en suis convaincu, les engrais chimiques, les antibiotiques ont leur avenir derrière eux ». 

 

Résultats

  • Meilleure résistance à la sécheresse
  • Des fourrages de meilleures qualité
  • Meilleure santé animale
  • Meilleure qualité des sols : plus souples
  • Plus d'autonomie sur l'exploitation
  • Une meilleure valorisation de l'herbe