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Témoignages et résultats

Témoignage
Hervé Pinard, viticulteur, céréalier et producteur de kiwis en BIO.
Biologique
Hervé Pinard
Sur la récolte 2015, j’avais 5 % de pourriture où il y avait eu du Bactériosol et ailleurs c’était 25 %
Viticulteur/céréalier/arboriculteur
2016
NEULLES
17500
Charente-Maritime

Culture/Production

Hervé Pinard est viticulteur et céréalier à Neulles en Charente-Maritime. C'est la quatrième génération sur l’exploitation. Il cultive : 160 hectares dont 90 ha de céréales, 62 ha de vignes et 5 hectares de kiwis en bio et travaille depuis quatre ans avec BACTÉRIOSOL.

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2014) / Support de culture pour une parfait réussite des plantations.
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Témoignage

Hervé Pinard représente la quatrième génération sur l’exploitation. Que ce soit sur le kiwi ou la vigne, le Bactériosol a largement répondu à ses attentes.

« Je suis passé en bio en kiwis et il me fallait un activateur de sols bio. La seule maison qui me le proposait, c’était la SOBAC. Après, on a poussé sur les vignes. J’ai comparé des produits de trois entreprises différentes. Je n’avais prévenu aucun de mes ouvriers. Les gars m’ont dit: « Y’a un problème patron, les vignes sont plus belles à plusieurs endroits ». C’était du côté BACTÉRIOSOL. Depuis huit ans je faisais des essais sans voir de résultats comme ça. 


La vigne ne souffre plus. La plante est autonome, elle va chercher elle-même ce dont elle a besoin avec des racines plus profondes.

 

Sur la récolte 2015, j’avais 5 % de pourriture où il y avait eu du BACTÉRIOSOL et ailleurs c’était 25 %

 

Coté SOBAC, il y a également beaucoup moins de millerandage, ce défaut de maturation des vignes aboutissant à l’avortement partiel des raisins.
Cette année même résultat et des vignes qui ont poussé tout le mois d’août malgré la sécheresse. 
Au niveau de l’esca, la maladie du bois de la vigne, je n’en trouve plus que 1 % alors qu’avant j’étais à 3-4 %. En Sauvignon, j’étais à 10 % et on est descendu à 5-6 %. Chez des voisins, c’est une catastrophe. 

 

On a fait un profil de sol le 1er mars. Avec la mini-pelle, j’ai d’abord fait le trou là où il n’y avait jamais eu de BACTÉRIOSOL. On a mis 45 minutes pour descendre à un mètre. Pour le deuxième trou ensemencé avec BACTÉRIOSOL, je suis descendu en trente minutes à 1m60. 
 

Au niveau du pH, on était à 6,9 en surface et à 7,1 à 1m60

 

Donc un pH très homogène. Là où il n’y avait pas eu de BACTÉRIOSOL, on était à 500 galeries au m² et à 1100, là où il y en avait eu. Donc, une porosité bien utile lors de grosses précipitations ou de sécheresse, preuve d’une meilleure gestion de l’eau et de l’air dans les sols.
Les résultats s’enchaînent les uns après les autres. Il faut tout réapprendre. Notre sol n’est pas acquis à vie. Je suis très fier d’utiliser aujourd’hui le BACTÉRIOSOL et j’en parle beaucoup autour de moi. J’ai trouvé le concept qui colle avec mon exploitation. 

 

Dans le kiwi, ça faisait dix ans que je cherchais, qu’on me promettait et que je ne voyais rien arriver. Ce sont des parcelles avec du calcaire, de l’argile, des argiles battantes avec en-dessous des limons très asphyxiants. Maintenant, la structure change et la plante me le rend. 
Avec la Cop21, le BACTÉRIOSOL est reconnu pour le rôle qu’il peut jouer pour réduire les gaz à effet de serre, c’est très positif. 

 

Dans les céréales, cette année le calibrage en escourgeons était supérieur de 10 % et en vigne on est dans un quota de 105 hl. Sans le BACTÉRIOSOL, je pense qu’on serait autour de 80 hl. En plus, j’ai eu un très bon aoûtement cette année sur toute la superficie, une mise en réserve dans les bois pour l’année prochaine. C’est là que se fait la récolte de l’année suivante. 
Je fais tout pour diminuer les phytos avant qu’on nous l’impose. 
La plante est plus libre pour se battre contre toutes les agressions. Elle résiste mieux aussi à une piqûre d’insecte.

 

Même chose pour la pourriture. Les grappes sont plus grosses, plus aérées, ça pousse beaucoup mieux


J’essaie de respecter la nature. Je connais les contraintes du bio avec mes kiwis. Sur les céréales, je m’en rapproche de plus en plus. En vigne, sur 60 hectares je ne pense pas que ce soit possible de produire en bio. Ici, en Cognac, le mildiou est très présent. 
J’ai toujours eu un petit pas d’avance. J’aime bien chercher. 
Le BACTÉRIOSOL c’est un noyau, c’est la base pour travailler. Déjà quand je vois au bout de trois ans la résistance des feuilles, la résistance des bois, c’est encourageant."

 

En kiwis, je cherche avant tout un fruit calibré. Cette année on dirait qu’ils sont faits à la photocopieuse !

Résultats

Il utilise Bactériosol pour les céréales et la vigne, Bactériosol UAB pour sa production de kiwis en AB.

 

  • Autonomie de la plante.
  • Meilleur enracinement.
  • Moins de pourriture, d'esca, meilleure résistance des feuilles et des bois sur la vigne.
  • Un pH régulé et homogène.
  • Meilleure porosité donc meilleure gestion de l'eau.
  • Rendements importants.
  • Des kiwis calibrés.