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Témoignages et résultats

Témoignage
Jean Pierre Gigan, maraîcher à la Réunion, utilisateur de Bactériosol, (97).
Jean-Pierre Gigan
Je gagne une récolte tous les trois ans
Maraîcher
2017
Le Tampon
97430
La Réunion

Culture/Production

Jean-Pierre Gigan est installé comme maraîcher depuis près de 40 ans à Tampon, île de la Réunion.

Sur l'exploitation, il cultive notamment des ananas (Six hectares plantés en ananas, ainsi que d'autre fruits et légumes (poivrons, choux...).

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2015) / Fertilisation des fruits et légumes : ananas notamment
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Témoignage

Jean-Pierre Gigan en est persuadé : le procédé SOBAC est une véritable révolution sur l’île de la Réunion. Pour lui, le Bactériosol trouve ici des conditions idéales et son effet est démultiplié.

" J’ai commencé par ensemencer deux hectares avec Bactériosol mais maintenant ce sont les six qui vont recevoir ce procédé. J’étais découragé par l’agriculture et les problèmes récurrents de maladies et de carences sur ma production. 
Quand j’ai fait l’essai avec Bactériosol, ma première observation a concerné l’enracinement des pieds d’ananas.

 

Dès le début, du côté Bactériosol le système racinaire prenait un aspect de touffe de cheveux alors qu’en conventionnel c’était juste trois ou quatre racines


La plante est beaucoup plus robuste et aux premières pluies ça pousse quasiment à vue d’œil. C’est impressionnant. 
Nous étions en train  de tuer la terre. Avec les engrais, les produits phyto et la chaux, c’était une catastrophe. Ça fait déjà six ans que j’ai arrêté la chaux et les engrais. Quand je pense qu’avant on mettait une tonne d’engrais à l’hectare…
Tout était bloqué dans le sol alors que maintenant la vie a repris. La terre est redevenue noire au lieu d’être jaune. Les vers de terre sont revenus
 

La terre respire. Il n’y a pas longtemps quand j’arrachais une parcelle, un autre producteur est venu me voir et m’a demandé comment je faisais pour avoir une si belle terre.  
Nous sommes gagnants sur toute la ligne. C’est le climat idéal pour le Bactériosol.

 

En conventionnel, de la plantation à la récolte, il faut seize mois pour récolter l’ananas. Avec Bactériosol on réduit ce délai à douze mois. C’est à dire qu’on gagne une récolte tous les trois ans…

 

On met entre 70 et 80 000 pieds d’ananas à l’hectare. Ils se vendent entre 0,80 et 1,20 euros l’unité. 400 000 pieds d’ananas en plus tous les trois ans, les comptes sont vite faits…
C’est énorme. C’est une révolution chez nous. Au départ j’avais peur mais aujourd’hui je suis comblé.

 

Avec Bactériosol, j’ai gagné sur la grosseur du fruit, sur le calibrage, sur la couleur. Il n’y a plus ces petites tâches noires qui étaient dues aux excès d’azote et de potasse. Au niveau du goût, l’amélioration est très nette. Les ananas ont beaucoup moins d’acidité, c’est du miel maintenant. Les clients sont prêts à faire trente ou quarante kilomètres pour m’en acheter. Le bouche-à-oreille a merveilleusement bien marché. A la fête de l’ananas en novembre dernier, j’en ai vendu 6 000, ce qui est énorme. Et encore, c’est parce que je n’avais que ça de mûr…

 

Aujourd’hui, je suis fier d’ouvrir les portes de mon exploitation et d’expliquer aux visiteurs comment je travaille. Je sens que les producteurs d’ananas sont ébranlés par les résultats obtenus avec le procédé SOBAC


Quand vous marchez entre les rangs, vous avez l’impression de marcher dans du sable alors qu’avant vous aviez le sentiment de marcher sur du béton. Si on fait un petit profil de sol, à cinquante centimètres, on voit bien la différence. Côté Bactériosol, on distincte les mycorhizes, des petits filaments blancs sur les racines. On voit où est la vie. 

 

Ici, 60 % des maraîchers ont de gros problèmes de maladies, de nématodes. On ne fait pas de rotations et les fongicides, les désherbages, les engrais apportent beaucoup de maladies. 

 

Que ce soit à la coopérative des Avirons au sud de l’île ou à la coopérative du Nord Est, les mentalités ont beaucoup évolué ces six derniers mois  et c’est très encourageant pour les gens qui, comme moi, ont décidé d’arrêter le chimique. 
Je sens qu’ici, 2017 va vraiment être l’année de la SOBAC à la Réunion ! "

 

Résultats

M. Gigan utilise du Bactériosol pour la fertilisation des cultures :  ananas notamment.

 

  • Système racinaire beaucoup plus développé.
  • La plante est plus robuste.
  • la vie a repris dans le sol.
  • Les vers de terre sont revenus.
  • La terre est redevenue noire au lieu d’être jaune.
  • Il faut normalement seize mois pour récolter l’ananas; avec Bactériosol on réduit ce délai à douze mois.
  • On a gagné sur la grosseur du fruit, sur le calibrage et la couleur.
  • On a plus ces petites tâches noires qui étaient dues aux excès d’azote et de potasse.
  • Au niveau du goût : l’amélioration est très nette (beaucoup moins d’acidité).
  • Arrêt des intrants chimiques.