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Témoignages et résultats

Témoignage
Joël Fages, éleveur ovins lait dans l'Aveyron et utilisateur de Bactériosol et bactériolit (12).
Joël Fages
Au niveau qualité, je suis dans la marge haute
Eleveur ovins lait et céréalier
2015
Gabriac
12340
Aveyron

Culture/Production

Joël Fages , éleveur ovins lait et céréalier à Gabriac (Aveyron), installé depuis 1989. Utilisateur des solutions SOBAC depuis 1997, il a 39 hectares de SAU dont 6 ha de céréales, 7 ha de prairies naturelles et le reste en prairies artificielles ou en parcours et 220 brebis laitières.

Produit/Usage

  • Bactériolit (depuis 2009) / Bactériolit pour valoriser ses effluents d'élevage en respectant de l'environnement.
  • Bactériosol concentré (depuis 1997) / Bactériosol pour une fertilisation naturelle de ses terres.
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Témoignage

Joël Fages vend aujourd’hui le lait de ses brebis pour fabriquer le Roquefort à dix centimes d’euro plus cher par litre que la moyenne grâce à une qualité qu’il doit beaucoup à l’utilisation du concept SOBAC. 

" Après un essai il y a très longtemps, je suis revenu vers la SOBAC en 1997. Je n’ai pas fait d’études agricoles mais j’ai toujours eu du mal à me faire au chimique. Je ne comprenais  pas pourquoi il fallait apporter aux sols de l’azote, de la potasse, du phosphore pour faire pousser les plantes. 
J’ai d’abord commencé à travailler avec du Bactériosol®, j’ai pris patience et ça marchait pas si mal que ça. Et c’était surtout très simple d’utilisation. 


J’ai opté pour le Bactériolit il y a six ans. C’est encore plus simple puisque je mets le Bactériolit dans la litière l’hiver et 80 % des fumiers sont épandus à l’automne. Après, je n’ai plus rien à faire si ce n’est au printemps sur les ray-grass et les céréales où je fais un passage d’azote.

 

L’observation la plus flagrante ça a été le retour des vers de terre

 

Après, c’était les rendements avec une herbe plus verte au printemps.
Au niveau de l’appétence des fourrages, on s’aperçoit que les bêtes les mangent mieux. 
Je travaille pour l’AOC Roquefort, et j’ai vu des changements sur la qualité du lait. Au départ, j’étais à 116 de MSU (Matière sèche utile : ce qui sert à faire le fromage). En 2015, je suis à 139,9 avec une production moyenne par bête de 265 litres. Plus la MSU est haute, plus le lait est valorisé. Ce n’est pas négligeable. Le lait m’est payé à un peu plus d’un euro quand la moyenne pour le Roquefort doit être à 0,9 euro. Ça fait quand même dix centimes au litre, 10 %.

La génétique, les aliments ont évolué mais la SOBAC a un vrai rôle dans ces progrès. C’est un ensemble.

 

Au niveau qualité, je suis dans la marge haute


Avec le Bactériolit, les frais vétérinaires diminuent largement. L’an dernier, j’ai passé huit mois sans voir de vétérinaire. Les animaux se portent mieux. L’effet sanitaire sur le bâtiment est net
Quand on sort le fumier de la bergerie, il est beaucoup plus décomposé qu’avant.

 

Et il n’y a plus d’odeurs


Il y a six ans, j’ai fait un stage Bio. Aujourd’hui, j’y pense à nouveau car j’ai le sentiment d’être quasiment Bio. La SOBAC, c’est le meilleur tremplin pour passer en Bio.Un confort de vie qui me va bien.

Je ne suis plus dépendant du chimique et ça m’a soulagé. Marcel Mézy, en inventant ce procédé, a fait comprendre à beaucoup qu’il faudrait peut-être revenir aux fondamentaux et se servir des fumiers qui sont les premiers engrais naturels.

 

Il suffit de donner un petit peu à manger à la terre et elle fait son travail. Avec les vers de terre, on voit que ça fonctionne. A 20 ans quand je labourais, je n’en voyais pas un seul. On a fait une course abusive à la production.

 

Aujourd’hui on revient à une agriculture plus raisonnée et responsable


Au  niveau agneaux, je pense que je suis dans la moyenne. Cette année, je suis à 1,7 agneau vivant. Ce n’est pas exceptionnel, mais c’est la bonne moyenne. 
Désormais, j’ai aussi une grande tranquillité financière. Le prix du Bactériolit® suit une courbe normale, sans à-coups. Avec 500 kg de Bactériolit®, j’ensemence tous les fumiers.


J’ai un ou deux passages en moins  à faire sur mes terres. C’est du temps et de l’argent. Et on passe à de bien plus faibles doses de fumiers. J’ai une plus grande tranquillité d’esprit qu’avant
Aujourd’hui, je n’ai pas envie de m’agrandir. J’ai un confort de vie qui me va bien. "

 

Résultats

Il utilise le Bactériosol depuis 1997 , sur ses céréales et sur ses prairies afin d'apporter une fertilisation naturelle. En 2009 , il commence l'utilisation du Bactériolit afin de valoriser ses effluents d'élevage.

 

  • Très simple d’utilisation.
  • Retour des vers de terre.
  • Rendements avec une herbe plus verte au printemps.
  • Les bêtes mangent mieux,l’appétence des fourrages.
  • Je suis à 139,9 MSU avec une production moyenne par bête de 265 litres.
  • Le lait m’est payé dix centimes de plus au litre, 10 %.
  • Au niveau qualité, je suis dans la marge haute.
  • Les frais vétérinaires diminuent largement.
  • L’effet sanitaire sur le bâtiment est net.
  • Il n’y a plus d’odeurs au niveau du fumier ,en sortie du bâtiment.
  • Meilleure décomposition.