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Témoignages et résultats

Témoignage
Pascal Ricordel, éleveur de vaches laitières en Loire Atlantique, utilisateur des solutions SOBAC.
Pascal Ricordel
Ma marge augmente
Éleveur de vaches laitières
2018
Plessé
44630
Loire-Atlantique

Culture/Production

Pascal Ricordel est éleveur laitier à Plessé (Loire-Atlantique) Son exploitation : L'Earl Ar Dervenn / 64 hectares dont 52 ha de prairies et 12 ha de maïs / 50 vaches de race Prim’Holstein pour 415 000 litres de lait plus les génisses.

 

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2010) / Pour augmenter la fertilité des sols naturellement.
  • Bactériolit (depuis 2010) / Pour valoriser les effluents d'élevage

Témoignage

Pascal Ricordel cherchait un procédé pour faire vivre ses sols et ne plus être dépendant de la chimie. Depuis huit ans, il fait route avec la SOBAC, persuadé " qu’il faut dépendre le moins possible de l’extérieur. C’est là qu’on va chercher le revenu ".

 

" En 2009, je suis tombé sur la SOBAC sur internet. Les autres sociétés qui passaient à la ferme, c’étaient avant tout des vendeurs. Ils ne passent plus beaucoup d’ailleurs. Le technico-commercial de la SOBAC, lui, m’a parlé en profondeur du concept SOBAC et du fait que certains l’utilisaient depuis près de trente ans dans l’Aveyron. L’histoire m’a bien plu. 
Mon objectif ce n’était pas de produire à outrance mais simplement de vivre de mon métier en étant le plus autosuffisant possible. Dès la première année, je suis passé à 100 % en Bactériolit et Bactériosol. J’ai fait la première mise en place en 2010 et le plus impressionnant, ça a été l’évolution visuelle des fumiers. Quand on vide la stabu, il n’y a plus d’odeurs d’ammoniac et dans le mois qui suit, sur le tas de fumier, ça sent les champignons. 
L’ambiance est plus saine dans les bâtiments même si les vaches y passent peu de temps. J’ai d’ailleurs constaté une diminution des mammites. 


Sur les maïs, il y a une meilleure résistance à la sécheresse, ils restent verts plus longtemps et frisent beaucoup moins vite.

 

Au niveau des analyses de fourrages, je suis toujours au-dessus de la moyenne avec le contrôle laitier


Sur les pâturages, il y a beaucoup moins de refus. Les vaches pâturent uniformément les parcelles. 
Sans apporter de chimie et avec un chargement qui a augmenté de 0,5 UGB, nous sortons plus de tonnage à l’hectare qu’avant, plus de lait et avec un peu moins de correcteurs. 

 

Je constate que ma marge augmente

 

Je sais que je ne reviendrai jamais dans le système qu’on m’a appris à l’école. J’ai simplement optimisé les coûts.

Avec la SOBAC, je suis dans l’échange, dans un travail sur le long terme. Certains se demandent comment je fais pour vivre sur cette exploitation sans intrants chimiques et sans être en Bio. J’ai simplement optimisé mes coûts et appris à travailler autrement. Mon poste gasoil était bas, il l’est encore plus aujourd’hui puisque je passe moins sur les parcelles et avec moins de puissance. J’ai un coût de mécanisation très bas. Sur le maïs, je fais un labour, un coup de herse-trainée et je sème derrière en combiné. 

 

J’ai un minimum de charges de structures et je me sens pleinement bien dans mon agriculture


J’ai mis aussi en place un pâturage dynamique tournant avec un troupeau qui change de paddock toutes les 24 heures afin de respecter le cycle de l’herbe. Avec ce système plus le Bactériosol, nous allons encore mieux valoriser les pâtures. Nous allons reconstituer des stocks pour être plus sereins et libérer peut-être un peu de surface pour faire des céréales auto-consommées. Nous sommes autonomes en fourrages. 


Les pâtures résistent mieux et il y a toujours une grande diversité de légumineuses dans l’herbe produite. Cette année, les génisses n’ont pas reçu de foin, bien qu’il n‘y ait pas eu d’eau de l’été. 

 

L’harmonie et l’autonomie sont les mots qui me viennent à l’esprit pour qualifier la finalité de ma démarche

 

Il faut dépendre le moins possible de l’extérieur. C’est là qu’on va chercher le revenu ". 

 

Résultats

Il utilise Bactériosol et Bactériolit sur l'ensemble de l'exploitation depuis 2010.

  • Evolution rapide des fumiers.
  • Plus d'odeurs d'ammoniac.
  • Diminution des mammites.
  • Meilleure résistance à la sécheresse.
  • Moins de refus.
  • Marge augmentée
  • Plus de lait avec moins de correcteurs.
  • Meilleure valorisation des pâtures.
  • Plus d'autonomie.
  • Des pâtures plus résistantes.
  • Grande diversité de légumineuses.