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Témoignages et résultats

Témoignage
Philippe André, éleveur de vaches laitières, dans la Manche et utilisateur des solutions SOBAC
Philippe André
Donner de la cohérence à notre démarche
Éleveur de bovins lait
2018
Vauville
50440
Manche

Culture/Production

Philippe André, éleveur de vaches laitières à Vauville (Manche). Installé depuis 1996 Il travaille avec quatre associés sur l’exploitation. Son exploitation : 120 hectares / 120 vaches laitières de race Prim’Holstein, Normandes et croisées /  730 000 litres de lait dont 90 000 en vente directe sur la ferme en lait pasteurisé et crème. 

Produit/Usage

  • Bactériolit (depuis 2008) / Pour valoriser les effluents d'élevage et activer leur décomposition.
  • Bactériosol concentré (depuis 2010) / Pour la fertilisation des cultures

Témoignage

Quand un commercial de la SOBAC avec qui il était à l’école est passé le voir en 2008, Philippe André traversait une période où il se posait des questions au niveau agronomique. Après quelques essais, ça fait maintenant sept ans que l’exploitation est à 100 % dans le concept SOBAC.

" Je me disais qu’on pouvait faire mieux. Avec ce que ça nous coûtait en PK et en chaux, on s’est dit que ça ne nous coûterait pas plus cher d’essayer de travailler avec la SOBAC. 
Nous avons des terres très battantes et nous voulions progresser au niveau de la structure du sol. Nous avons arrêté le maïs en 2004 mais auparavant avec cette culture, nous avons bien abîmé la structure du sol.  Depuis quelques années, les choses ont évolué et la SOBAC y a bien sûr sa part. L’augmentation de trèfle dans les prairies, par exemple, est importante.  

 

Au niveau de la structure des sols, c’est clair qu’il y a une plus grande porosité
On sent qu’il y a des choses qui ont changé au niveau de la vie microbienne.

 

Il y a plus de vie dans le sol et le stockage de l’eau se fait beaucoup mieux

 

On le voit en période de sécheresse, chez nous les prairies restent vertes plus longtemps et ça redémarre plus vite à la moindre averse. Nous sommes moins vulnérables. C’est toute l’exploitation que nous avons essayé d’harmoniser. La nourriture des vaches se résume aux pâturages, au foin séché en grange et aux betteraves produites sur l’exploitation. Nous avons augmenté le chargement sur les pâtures, donc je pense que nous produisons plus d’herbe.

 

Le robot de traite, le séchage en grange, le pâturage dynamique, la vente directe, les terres à 100 % dans le concept SOBAC, tout cela marche ensemble. Les vaches ont un pâturage de jour et un pâturage de nuit. Pour aller d’une parcelle à l’autre, elles passent par le robot de traite.

 

Elles y vont car elles savent que derrière, elles vont avoir de l’herbe fraîche. La gestion des pâturages et la qualité de l’herbe sont des préoccupations essentielles


Il faut donner de la cohérence à notre démarche. En prenant en compte le lien qui existe entre le sol et ce que nous produisons, nous sommes respectueux de l’environnement, même si nous ne sommes pas en bio. 
La mise en place du séchage en grange a été décisive. Dans la foulée, nous avons arrêté de faire du maïs et donc résolu les questions de désherbage. 

 

En fait, nous avons toujours été à l’affût des nouveautés, sans tenir compte du qu’en-dira-t-on. 
Les choses évoluent, les mentalités changent ; ici en particulier où tout le monde cherche à valoriser l’herbe, les prairies et à sortir du maïs. C’est propre à notre secteur, à une ambiance liée à un contexte climatique adapté à la pousse de l’herbe. 
Nous sommes dans une période où une nouvelle génération pourrait venir à la ferme et c’était important de prendre le bon virage. 


J’ai le sentiment de travailler non pas pour la planète mais pour limiter les conséquences de mon activité professionnelle sur la planète
Nous allons continuer à essayer d’avoir un coût de production toujours plus faible. L’autonomie c’est tout le contraire d’un repli sur soi-même ".

 

Résultats

Il utilise du Bactériolit pour valoriser les effluents d'élevage et du Bactériosol pour apporter une fertilisation naturelle sur les cultures. 

 

  • L’augmentation de trèfle dans les prairies.
  • Une plus grande porosité.
  • Il y a plus de vie dans le sol.
  • Le stockage de l’eau se fait beaucoup mieux.
  • Les prairies restent vertes plus longtemps.
  • Nous produisons plus d’herbe.