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Témoignages et résultats

Témoignage
Philippe Menant et Pascal Egaux, producteurs de légumes de la Manche (GPLM).
Philippe Menant et Pascal Egaux
Ce procédé incarne l'avenir
Producteur de légumes de la Manche
2019
Le Mont-Saint-Michel
50170
Manche

Culture/Production

Philippe Menant, responsable technique du GPLM Val de Saire et Pascal Egaux, technicien de la zone de la baie du Mont Saint-Michel Groupement des Producteurs de Légumes de la Manche. Plus de 140 producteurs.

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2014) / Pour apporter une fertilisation naturelle et produire des légumes de qualité
  • Quaterna Plant (depuis 2018) / Support de culture pour une parfait réussite des plantations
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Témoignage

Créé en 1985, le Groupement de Producteurs des Légumes de la Manche est une coopérative de mise en marché qui représente 55 % des tonnages de légumes de ce département normand, soit une production de 100 000 tonnes pour un chiffre d’affaires de 35 millions d’euros.  

Entre le Groupement des Producteurs de Légumes de la Manche qui regroupe plus de 140 producteurs et SOBAC ce sont déjà cinq ans de partenariat. Nous avons fait le point avec Philippe Menant responsable technique du GPLM Val de Saire et Pascal Egaux, technicien de la zone de la baie du Mont Saint-Michel.

 

Pourquoi ce partenariat entre le GPLM et la SOBAC ?

 

Pascal Egaux : Ce qui nous a intéressés, c’est que c’est une entreprise qui, avec son concept apporte un équilibre favorable à la croissance de la plante.

 

Philippe Menant : C’est un produit que nous n’avions pas avant, nous n’avions jamais été confrontés à quelque chose d’équivalent. Pour nous au départ, c’était un procédé plutôt tourné vers l’élevage et il y avait tout à défricher. C’est ce qui était intéressant.

 

P.E : Pour moi ce procédé incarne l’avenir. On sait qu’un virage, une prise de conscience sont indispensables.

 

P.M : Et c’est aussi l’aspect environnemental qui nous a interpellés. BACTÉRIOSOL fait partie des biofertilisants qui permettent de sortir du chimique.  

 

Comment s’est fait connaître SOBAC chez vos adhérents ?

 

P.E : Au sein du GPLM qui regroupe 140 producteurs, ce sont les utilisateurs qui ont fait du prosélytisme. Les premiers à avoir utilisé BACTÉRIOSOL en ont parlé autour d’eux et ça a fait boule de neige. Plus d’une trentaine travaille aujourd’hui avec les solutions SOBAC. Nous sommes dans une logique où nous ne ferons plus machine arrière et notre objectif est d’aller vers des productions plus propres, d’atteindre le label zéro résidu de pesticides. BACTÉRIOSOL, c’est un ensemble d’éléments positifs qui vont dans le sens de l’agriculture que nous prônons.

 

P.M : Nous sommes des témoins. Nous ne faisons pas de commercialisation, nous accompagnons les producteurs dans leur démarche. Nous sommes encore dans la mise en place d’essais importants. Ce que l’on voit c’est que même si BACTÉRIOSOL a un coût, les producteurs continuent en raison des nombreux effets positifs. Ce que nous constatons ce sont des rendements supérieurs de 10 à 15 %, une homogénéisation de la production, une meilleure reprise de végétation et une meilleure photosynthèse. C’est déjà beaucoup… Sur certains essais, nous avons remplacé un produit phytosanitaire par QUATERNA PLANT. C’est autant de gagné pour le sol. Parce que l’antifongique détruit les champignons nuisibles mais aussi les bons champignons.

 

P.E : QUATERNA PLANT fait pousser les productions plus vite. Il y a aussi des pistes intéressantes sur les maladies. SOBAC a fait des analyses sur la teneur en glucose et en Oméga des productions et nous sommes sur des résultats supérieurs.

 

Quels sont les axes à venir de ce partenariat ?

 

P.M : C’est bien sûr intéressant pour nous de voir que SOBAC s’engage dans les filières de qualité, planche sur le label zéro résidu de pesticides et avance sur les questions du stockage du carbone. Si un jour on peut sortir un légume à zéro carbone, ce sera évidemment une avancée. Le stockage du carbone dans les sols est aussi quelque chose qui va dans le sens de notre démarche.

 

P.E : Nous ne pouvons que suivre l’opinion publique qui a beaucoup évolué. Il y a une prise de conscience générale. Nous sommes dans une démarche d’agriculture Haute Valeur Environnementale et avec, entre autres, les solutions SOBAC, ce sont à chaque fois des briques rajoutées à un édifice appelé cercle vertueux. 

 

Quels sont les essais en cours avec SOBAC ?

 

P.M : SOBAC a mis sur le marché BACTÉRIOSOL et aujourd’hui elle met l’accent sur la recherche pour approfondir sa connaissance de son produit (maladies, résidus de pesticides...). Cette démarche scientifique pour connaître tout le potentiel du BACTÉRIOSOL va dans notre sens. Nous avons des essais en place par rapport à certaines maladies dont les espèces de pythium et les nématodes de la carotte. Ce sont des essais annuels et nous verrons les résultats au fur et à mesure. Nous sommes en début d’expérimentation. Ce sont des enjeux importants pour nous car si au sein du GPLM les poireaux représentent 18 000 tonnes sur 500 ha et sont le premier produit en termes de chiffre d’affaires, les carottes représentent 600 ha de cultures. C’est quand même encourageant de voir des producteurs prendre enfin conscience que leur sol, c’est du vivant et qu’il faut le faire vivre.

 

P.E : Pour l’instant, nous avons des ressentis de producteurs qui nous disent qu’ils constatent moins de pertes d’équilibre dans leurs cultures. Leurs légumes sont plus faciles à arracher parce que la terre a retrouvé sa porosité et que les productions sont plus homogènes. 

 

Résultats

Ils utilisent BACTÉRIOSOL depuis 2014 pour augmenter la fertilisation naturelles des sols et récolter des rendements de légumes de qualité.

 

  • Meilleure reprise de végétation
  • Meilleure photosynthèse
  • Équilibre favorable à la croissance de la plante
  • Moins de pertes d'équilibre des cultures
  • + 10 à 15 % de rendements
  • Homogénéisation de la production
  • Légumes plus faciles à arracher
  • Un procédé d'avenir