ttt Témoignage Pierre et Christian Guillot-Jerome Un profil de sol decisif GAEC du Sommet 2017 Montagnieu 38110 Isère Culture/Production Pierre et Christian Guillot-Jerome et Fabrice, fils de Christian (GAEC du Sommet) sont éleveurs de montbéliardes et de charolaises à Montagnieu (Isère). L'exploitation : 121 hectares dont 35 ha de maïs ensilage et 3 ha en maïs grain, 8 ha d’orge, 10 ha de blé, 12 ha de prairies temporaires et le reste en prairies naturelles. 85 vaches laitières de race Montbéliarde 11 mères allaitantes de race Charolaise Produit/Usage Bactériosol concentré (depuis 2015) / Pour augmenter la fertilité des sols naturellement.< Bactériolit (depuis 2015) / Pour valoriser les effluents d'élevage.< Témoignage Lorsqu’un profil de sol a été fait au GAEC du Sommet, ce sont près de cent personnes qui s’y sont rendues. Les résultats étaient si spectaculaires que depuis, de nombreux agriculteurs du secteur ont rejoint la SOBAC. Pierre : « J’avais découvert la SOBAC dans une revue où il était écrit que ce concept était reconnu par l’Inra. Nous étions déjà utilisateurs d’un activateur de matière organique. Nous avons commencé par mettre du Bactériosol sur 10 hectares de maïs. Nous en avions aussi mis dans le potager et au bout de 3-4 mois on avait déjà vu la différence. La terre était plus facile à bêcher. La deuxième année nous avons ensemencé le bâtiment des vaches laitières avec Bactériolit car nous avions de gros problèmes d’ammoniac. Au bout d’un mois, il y avait déjà beaucoup moins d’odeurs. A la mise à l’herbe suivante, au bout de six mois, tout allait mieux. Nous avons vite constaté que nous avions moins de problèmes de boiteries et quand nous avons mis du Bactériolit dans la litière des veaux, il y a eu rapidement une baisse significative des problèmes pulmonaires. Les fumiers ont moins d’odeur, ils sont beaucoup moins aigres et le Bactériolit les assèche Les sols paraissent plus souples, plus faciles à travailler. Nous avons fait un test avec une parcelle en conventionnel, une avec de l’azote et l’autre sans. Il y a eu un décalage au départ mais à l’arrivée il n’y avait pas de différence. Nous avons considérablement réduit les apports d’azote et supprimé totalement les engrais de fond ». Fabrice : « Nous avons fait un profil de sol décisif l’an passé. Déjà à l’ouverture du trou, tout le monde a été surpris. La terre n’avait pas le même aspect des deux côtés. Côté Bactériosol, c’était beaucoup plus friable, les racines descendaient beaucoup plus profondément et il y avait beaucoup plus de vers de terre. Le pH était beaucoup plus régulier sur toute la hauteur. Le sol était beaucoup plus facile à creuser, c’était flagrant. Lors de cette journée, il y avait bien 100 personnes, certains ne connaissaient pas les solutions proposées par la SOBAC et beaucoup d’entre eux ont décidé par la suite de travailler avec ce concept. Si à un moment on s’est senti un peu pionniers, c’est important après de ne pas se sentir seuls. Je pense qu’il faut vraiment être convaincu quand on entre dans cette démarche et il faut respecter les protocoles. Derrière, il y a un bon accompagnement avec le technico-commercial. On a le sentiment qu’il n’est pas là uniquement pour fourguer du produit à tout prix ». Christian : « Notre santé à tous, c’est un élément que l’on prend beaucoup plus en compte aujourd’hui. Il y a une prise de conscience ces dernières années par rapport au chimique. Les fournisseurs d’engrais commencent à proposer des produits qu’ils disent similaires à ce que fait la SOBAC. C’est un signe… C’est important pour nous de voir que la SOBAC continue à se développer et à être reconnue par les plus hautes instances ». En arrêtant les engrais chimiques et en diminuant l’azote, nous sommes forcément mieux économiquement Pierre : « Nous avons encore de la marge pour gagner encore en autonomie. Quand on voit nos analyses de fourrages et leur teneur en oligoéléments, on se dit qu’on est sur le bon chemin ». Résultats Ils utilisent du Bactériosol pour la fertilisation des cultures et du Bactériolit pour traiter et valoriser les effluents d'élevage. Nous avons vite constaté que nous avions moins de problèmes de boiteries. une baisse significative des problèmes pulmonaires. Les fumiers ont moins d’odeur, ils sont beaucoup moins aigres. Les sols paraissent plus souples, plus faciles à travailler. Nous avons considérablement réduit les apports d’azote et supprimé totalement les engrais de fond. Profil de sol => Côté Bactériosol : beaucoup plus friable, les racines descendaient beaucoup plus loin. Le pH était beaucoup plus régulier sur toute la hauteur. En arrêtant les engrais chimiques et en diminuant l’azote, nous sommes mieux économiquement.