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Témoignages et résultats

Témoignage
Stéphane Granel, céréalier dans l'Aude, utilisateur de Bactériosol.
Stéphane Granel
Une bonne transition pour aller vers le bio
Céréalier et maraîcher
2018
Fanjeaux
11270

Culture/Production

Stéphane Granel est céréalier à Fanjeaux dans l'Aude.  

Son exploitation : 225 ha dont 67 ha de blé dur semence, 51 ha de pois chiche semence, 25 ha d’oignons, 22 ha de maïs grain, 17 ha de tournesol semence, 13 ha de luzerne semence, 7 ha de carottes potagères, 5 ha de colza semence, 4 ha de céleri, 4 ha de lavande, 4 ha de thym, 4 ha de truffiers, 2 ha de moutarde blanche.

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2014) / Fertilisation des sols
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Témoignage

Installé sur l’exploitation familiale spécialisée dans les semences, Stéphane Granel dit avoir déjà résolu pas mal de problèmes en trois ans, surtout au niveau de la structure du sol.

" J’ai commencé par des essais sur les potagères. Nous n’avons pas vu grand-chose le premier hiver mais au printemps, à la moindre pluie, la plante explose. Sans phosphore et sans potasse, on voit déjà à l’oeil nu que c’est plus costaud.
Au niveau structure du sol, quand on binait au printemps, il y avait souvent ces mottes de terre avec du ray-grass qui maintenant explosent beaucoup plus facilement.

 

Le binage est plus facile et efficace, le sol est devenu beaucoup plus friable et les racines s’arrachent sans terre. Le diamètre des carottes est également plus conséquent


Quand on bine, on a l’impression qu’on a arrosé la veille tant la terre garde son humidité. Au niveau de la sécheresse, quand on apporte de l’eau, la plante le valorise mieux. Ça travaille très vite. En rendement brut, sur les chicorées, on devait faire 300 kg/ha, on en a fait 750 aujourd’hui.


Quand on travaille le sol, ça sent bon. En plus c’est actif, on voit des pailles décomposées alors qu’avant tout était bloqué.
En oignons, nous réalisons des taux de germination à 96 %, ce taux est élevé quand on sait que la norme est à 85 %. On a biné deux fois au printemps et l’oignon a eu suffisamment d’eau pour pousser. Les blés ou les pois chiches accusent moins le coup quand il y a de la chaleur. Ça reste vert plus longtemps."

 

Ça va dans le bon sens

 

On essaie de partir sur le Bio. On va créer un atelier plantes aromatiques et médicinales par l’intermédiaire de la Chambre d’Agriculture. On a déjà planté du thym. C’est le début de notre démarche vers le bio. On a déjà passé 15 hectares en bio et après on verra pour l’ensemble.

 

J’avais été démarché par d’autres sociétés qui se disent dans la même démarche mais je n’avais pas été emballé. A la SOBAC, il y a un échange technique, on parle plus de nos métiers, les techniciens se déplacent pour analyser les résultats. C’est une bonne transition pour aller vers le Bio. Et puis il y a ces réunions où on échange sans a priori avec d’autres agriculteurs. 

 

J’ai toujours aimé ce métier mais aujourd’hui, tel que je le pratique, il correspond mieux à mes aspirations profondes. 
Le sol va mieux mais le climat évolue beaucoup. Il faut aller vers des cultures qui ne demandent pas trop d’eau. 
Pour l’instant tout se passe bien, je suis plutôt confiant. Tous ces changements m’ont ouvert l’esprit. La SOBAC à la COP23, évidemment que c’est une bonne chose. 
Si on fait un premier bilan, ça va dans le bon sens. On passe moins sur les sols, sur les blés, nous avons fait un essai concluant avec une baisse divisé par 2 de l’apport d’azote. 
Globalement, nous faisons des années très correctes ". 

 

Résultats

Il utilise du Bactériosol pour apporter une fertilisation naturelle sur les sols. 

 

  • Travail du sol plus facile
  • Sol plus friable
  • Diamètre des carottes plus important
  • Meilleure gestion de l’eau
  • Meilleure évolution des pailles