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Témoignages et résultats

Témoignage
Thierry Julien cultivateur de plantes à parfum et de céréales, utilisateur de Bactériosol, (04).
Biologique
Thierry Julien
Les plantes s’adaptent mieux aux variations climatiques
Céréalier/plantes aromatiques
2016
Thoard
04380
Alpes-de-Haute-Provence

Culture/Production

Thierry Julien a une exploitation de montagne à Thoard (04) où il cultive 10 ha de céréales (tournesol, orge, blé) et 35 ha de prairies naturelles et artificielles. Son activité principale est la culture de plantes à parfums (40 ha de lavande, lavandin, 15 ha de sauge).

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2014) / Fertilisation des fleurs aromatiques (lavande, lavandin, sauge) et des céréales (tournesol, orge, blé).
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Témoignage

M. Julien a trois exploitations différentes dont deux dans des périmètres de sources protégées. Il est donc passé en agriculture biologique et s’est tourné vers les solutions proposées par la SOBAC.

 

Les plantes s’adaptent mieux aux variations climatiques

 

" Je savais que Patrick Boyer, le commercial de la SOBAC que je connaissais depuis longtemps, ne m’aurait pas emmené n’importe où. Mes premiers essais ont eu lieu il y a trois ans. Nous avons des périodes de sécheresse mais aussi de pluie de plus en plus accentuée. Ce qui m’a fait tenter l’expérience, c’est que je suis sur une zone où il y a beaucoup d’argile et sur des plantes à parfum qui craignent la chlorose ferrique, surtout en lavandin. L’asphyxie de la terre sur des argiles est très forte et la plante ne réussit pas à absorber le fer qui est dans le sol. Elle peut jaunir jusqu’à la mortalité.

 

Cette année, j’ai fait un essai sur une parcelle où j’avais de gros symptômes et j’ai eu un changement radical

 

Sur des argiles assez lourdes, les terres deviennent plus faciles à travailler.
Je vois déjà des plantes plus vertes, moins chétives en début de saison, qui résistent plus aux échaudages. Les plantes s’adaptent mieux aux différences climatiques au printemps.

 

Avec des automnes très secs, si on apporte de l’azote tard, son action à l’automne à l’effet inverse et fait mourir les plantes. Alors qu’avec du Bactériosol, c’est ce qu’il y a dans le sol qui travaille en fonction de la climatologie.
En période de pluie, sur toutes les parcelles où j’avais des problèmes de chlorose, c’est clair que j’ai vu de l’effet. Les plantes sont plus robustes.

 

En grattant entre deux rangs de lavande, on voit maintenant que les racines se chevauchent.
C’était des terrains où, quand on binait sur l’inter-rang, ça faisait de grosses mottes. Ça ne le fait plus.
Nous nous efforçons de devancer ce qui va se passer en agriculture, on essaie d’avoir un coup d’avance.

 

Mon fils fait des études agricoles et a une technicité qui l’emmène à aller vers des techniques identiques.
Ce n’est pas parce qu’on a pris ce recul qu’on est arriérés. On travaille aussi avec des ordinateurs dans les tracteurs. On a simplement retrouvé du bon sens oublié.
Je remets des troupeaux de moutons dans mes lavandes alors qu’il y a quinze ans il ne fallait pas en parler. Mon cousin passe avec son troupeau et j’ai juste à les biner ensuite.

 

J’aime relever des défis et j’en suis fier. Je fais des travaux pour des agriculteurs en conventionnel dans la vallée et j’ai vu que mes résultats étaient aussi bons que les leurs. On a toujours à apprendre des autres. Il faut être humble dans la vie, c’est ce qui fait aller de l’avant. 90 % de mes revenus proviennent des plantes à parfum. La céréale, c’est une rotation sur mon parcellaire.

 

Cette année, les attaques de cécidomyies ont été très, très faibles. Je travaille avant tout sur la santé du végétal et après, le rendement doit suivre

 

Je cherche à retrouver des longévités de plantation comme on avait par le passé. Sur un thym, c’est 4 500 euros l’hectare à la plantation, sur la lavande c’est 1 500 euros. Si on peut éviter de planter tous les trois ans…
Sur des sainfoins que j’ai implantés l’année dernière, sur 4,5 ha qu’on a déjà fauchés en année de semis sur des terrains très séchants, j’ai déjà eu de bons résultats.

 

En vingt ans, l’évolution climatique, les méthodes de travail ont changé. On est obligé de se remettre en question. Je fais ça pour moi, pour les enfants, pour la société, pour la planète. Je suis un capricorne et je n’aime pas qu’on m’impose des choses ».

 

Résultats

Il utilise du Bactériosol concentré pour fertiliser ses plantes à parfums (lavandes, lavandier, sauge) et aussi ses céréales (blé, orge, tournesol).Etant sur des terres contenant beaucoup d'argiles et cultivant des plantes à parfum qui craignent la chlorose ferrique, ce qui peut empêcher la plante d'absorber le fer qu'il y a dans le sol, il avait besoin d'une solution naturelle qui aiderait ses plantes à puiser les éléments correctement et à rééquilibrer les sols pour les rendre plus facile à travailler.

 

  • Beaucoup moins de symptômes de la chlorose ferrique et donc de risque de mortalité des plantes.
  • Les terres sont plus faciles à travailler.
  • Des plantes plus robustes.
  • Meilleur enracinement.
  • Cette année, les attaques de cécidomyies ont été très, très faibles.
  • Les plantes s’adaptent mieux aux variations climatiques.