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Témoignages et résultats

Témoignage
Jean Louis et Vincent Peyramale, éleveurs de charolaises en Haute-Pyrénées, utilisateur des solutions SOBAC.
Vincent et Jean-Louis Peyramale
De 10 000 à 3700 euros en frais vétérinaires
Éleveur de vaches allaitantes
2018
Ibos
65420
Hautes-Pyrénées

Culture/Production

Vincent et Jean-Louis Peyramale sont éleveurs de vaches charolaises à Ibos (Hautes-Pyrénées). Ils ont 83 hectares dont 22 ha de maïs, 6 ha de tournesol, 15 ha de céréales, 40 ha de prairies.  

Produit/Usage

  • Bactériolit (depuis 2006) / Pour augmenter la fertilité des sols naturellement.
  • Bactériosol concentré (depuis 2006) / Pour la valorisation des effluents d'élevage (fumiers et lisiers).
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Témoignage

Sur la ferme familiale, Vincent a pris la suite de son père Jean-Louis, 67 ans. Sélectionneur charolais, il sent son troupeau beaucoup plus robuste et se dit soulagé d’avoir arrêté 40 tonnes d’engrais chimiques.

" En 2007, nous avons fait un essai sur les fumiers avec Bactériolit. J’ai tout de suite vu que ça évoluait plus vite. Et quand on chargeait pour curer la stabulation, il n’y avait plus d’odeurs d’ammoniac.
Ça a été spectaculaire tout de suite sur les veaux : plus de problèmes pulmonaires, arrêt des diarrhées et tout ça avec zéro vaccin. En frais vétérinaires, nous avons baissé de 88 euros par UGB.

 

C’est à dire qu’en global, nous sommes passés de 10 000 euros à 3700 euros

 

C’est toute l’année que les vaches sont en bonne santé. Même leur comportement a changé. Elles ne se battent plus entre elles, elles sont beaucoup plus calmes. En croissance, elles profitent mieux. De 200 kilos à 120 jours, nous sommes passés à 213 kilos. C’est à la fois la génétique et la SOBAC. 
Sur les prairies, sur la pousse de l’herbe, c’est rare qu’on mette de l’azote aujourd’hui. Le lotier, le trèfle reviennent. Le foin est bon et il sent bon. On a l’impression d’être dans la grange des grands-parents. Ça sent le foin de montagne. En plus, à la moindre pluie ça repart plus vite. L’herbe est moins haute mais beaucoup plus dense et il n’y a plus de refus.

 

Sur les parcelles, la terre se défait beaucoup plus facilement qu’avant. C’est normal, dans chaque motte il y a des vers de terre.  La résistance à la sécheresse est meilleure et cette année, sans mettre d’eau au maïs on a fait 85 quintaux à l’hectare alors que c’était une année pas facile.

 

Une grosse avancée pour l’agriculture

 

En 2007, je me sentais carrément précurseur dans l’utilisation de ce concept. Il y avait eu une flambée du prix des engrais et je voulais en sortir.

Jean-Louis : " J’étais un peu réticent mais le prix des engrais était vraiment très haut. C’était l’occasion d’essayer ".

 

Vincent : " J’avais en tête de passer à autre chose. Nous avons arrêté 12 tonnes de potasse et phosphate, 12 tonnes de chaux, 13 tonnes d’azote et 3 tonnes d’engrais starter. Au lieu de ces 40 tonnes de chimie, nous sommes passés à 500 kg de Bactériolit Concentré et 3 tonnes de Bactériosol Concentré, avec une baisse de 30% sur l’azote et un gain de temps car nous faisons 3 passages en moins. C’est important de te dire que tu ne manipules plus de produits dangereux pour la santé. Nous sommes dans une zone très peuplée et tout se passe bien quand on épand.

Et puis, les passages avec la herse par exemple, sont tellement plus faciles dans cette terre. La vente directe permet les échanges et les clients s’intéressent vraiment à notre façon de travailler ".

 

Nous sommes tellement plus fiers de travailler comme cela

 

L’objectif est d’être encore plus autonomes en faisant plus de céréales auto-consommées.
Je sais que maintenant je peux passer plus facilement en bio. Avec le pas que j’ai franchi avec la SOBAC, je me suis ouvert à plein de choses. La SOBAC m’entraîne vers l’autonomie, elle m’aide à maîtriser toute la chaîne. Pour rien au monde je ne reviendrai en arrière. Il reste maintenant à développer des cultures comme le lupin pour complémenter en azote. Il faut continuer à développer l’autonomie sur la ration, sur l’alimentation du bétail.

 

Tous les jours je me dis que je travaille pour la planète. Le concept Bactériosol, Bactériolit, c’est une grosse avancée pour l’agriculture.  
Sur le potager c’est la même chose, nous avons des légumes incroyables. Et quand ça marche sur le jardin, ça marche sur le reste ".
 

Résultats

Ils utilisent, depuis 2006, du Bactériolit pour la valorisation des effluents d'élevage et du Bactériosol pour apporter une fertilisation naturelle.

 

  • Plus d’odeurs d’ammoniac.
  • Des fumiers qui évoluent beaucoup plus vite.
  • Plus de problèmes pulmonaires, arrêt des diarrhées et avec zéro vaccin.
  • Meilleur comportement des vaches (plus calmes...).
  • Nous sommes passés de 10 000 euros à 3700 euros pour les frais vétérinaires. 
  • Les vaches profitent mieux : De 200 kilos à 120 jours, nous sommes passés à 213 kilos.
  • Le foin est bon et il sent bon.
  • Il n’y a plus de refus.
  • La terre se défait beaucoup plus facilement qu’avant.
  • La résistance à la sécheresse est meilleure.
  • Plus de produit chimiques épandus.
  • Les clients s’intéressent vraiment à notre façon de travailler.
  • La SOBAC m’entraîne vers l’autonomie.