Témoignage Vincent GALLOUX Je vais continuer à réduire le chimique Céréalier 2023 Pontlevoy 41400 Loir-et-Cher Culture/Production Vincent GALLOUX est céréalier à l'EARL de l'Aizerie à Pontlevoy en Loir-et-Cher. Il utilise les solutions SOBAC depuis 2016. Son exploitation : 290 ha dont 100/110 ha de blé, 40/45 ha de colza, 30 à 40 ha de maïs, 25 ha d’orge, 20 ha de soja, 20 ha de sorgho, 20 ha de tournesol, lin oléagineux. Plus une exploitation voisine à façon sur 86 hectares. Installé depuis 1994. Produit/Usage Bactériosol concentré (depuis ) / Pour augmenter la fertilité des sols naturellement. Témoignage Vincent Galloux a rencontré Antony, le responsable de Futuragri, l’usine SOBAC, à une réunion de parents d’élèves. Comme il le dit, pour lui « tout cela ce n’était que de la poudre de perlimpinpin ». La discussion avec Antony lui a ouvert les yeux : « Je me suis enfin dit : après tout il n’y a peut-être pas que le chimique pour l’agriculture ». C’était en 2016. Depuis il utilise BACTÉRIOSOL à 100 % de son exploitation et a arrêté près de 50 t d’intrants chimiques. « Je n’étais pas en recherche de quelque chose de précis puisque je ne croyais pas à ces pratiques différentes. Avec SOBAC j’ai commencé en 2016. J’ai fait l’essai sur une parcelle de 18 ha de maïs en gardant des témoins en chimique à côté. En 2016, c’était très pluvieux et en mai-juin on était retourné sur les parcelles. Là où il y avait le chimique, ça sentait la vase et là où il y avait BACTÉRIOSOL, ça sentait les champignons, l’humus. On voyait des champignons sur les pailles en décomposition. J’ai très vite vu le développement du système racinaire du maïs. Ce n’était pourtant que la première année. J’ai continué de faire des essais sur cette parcelle et il y a deux ans j’ai passé toute mon exploitation et celle que je fais à façon à 100% en BACTÉRIOSOL, soit 370 ha. Pas de problèmes particuliers au niveau maladies Sur la parcelle témoin, j’avais maintenu les rendements. Les problèmes d’humidité avaient diminué et on a vu la différence au niveau de la structure du sol. Surtout au labour, mon père s’est rendu compte de la différence d’une parcelle à l’autre. J’ai arrêté tout ce qui était phosphore-potasse. J’en mettais sur les cultures de printemps, ça représentait entre 40 et 50 t d’engrais chimiques. Maintenant je commence à faire des réductions d’azote. Le seul problème, c‘est que nous avons des exigences en qualité. Je fais ce qu’on appelle des blés améliorants qui demandent de forts taux de protéines qu’on obtient avec l’azote. En fongicides, je fais en fonction de la météo. J’en fais minimum un à l’épiaison pour protéger l’épi et éviter des maladies sur grain. Mais celui de Mars/Avril n'est plus obligatoire, il se fait en fonction des conditions. Si c'est je n’interviendrai pas en préventif. Dans les maïs, j’ai fait des essais BACTÉRIOSOL Booster d’un côté et chimique de l’autre avec du 18/46. Ça partait plus vite en 18/46 mais, à la récolte, je n’ai pas vu de différence. C’est l’épi qui m’intéresse, pas la taille du maïs. Je vais peut-être garder BACTÉRIOSOL Booster pour la suite même si ça a un coût. La parcelle témoin est toujours restée parfaite au niveau homogénéité, quelle que soit la culture, maïs, blé, colza ou sorgo. Je n’ai pas eu de problèmes particuliers au niveau maladies. On a fait un profil de sol l’an passé avec SOBAC. C’est moi qui ai creusé les fosses à la mini-pelle et j’ai vu la différence. Côté SOBAC, la terre tombait tout de suite du godet, elle était plus friable, plus saine. La différence été très nette, sur le système racinaire, les vers de terre, la vie microbienne en général. Mon père qui est de la génération du tout chimique en prend pour son jardin et il dit : « Il y a quand même quelque chose ». Il me donne toujours quelques plants de tomates. Tout le monde a des problèmes de maladies cette année mais pas nous. A 80 ans quand il bêche il voit que la terre se travaille mieux. Je vais continuer à réduire le chimique Je vais continuer à réduire le chimique. Je me rends compte des retombées indirectes qu’ont ces améliorations de structures de sols : moins de carburant, moins d’usure de matériel, c’est un effet positif pour l’environnement et pour mon portefeuille. Mes commandes pour l’année prochaine sont faites et je constate que SOBAC n’a pas modifié ses tarifs en 2021. C’est rassurant dans le contexte actuel quand on voit la flambée dans le chimique. Au niveau rendements, à 100 % BACTÉRIOSOL, je ne vois aucun décrochage. En sorgo je sors 93 quintaux secs avec un seul tour d’eau et 180 unités d’azote. J’ai un bon rendement et une culture magnifique, homogène. Si ça peut en plus me permettre de réduire l’azote… SOBAC a été déclencheur Quand on voit que SOBAC a élaboré une méthode approuvée par le ministère de la Transition écologique dans le cadre du label Bas-Carbone, c’est porteur d’espoir pour nous. Ça nous dit que le procédé a de la valeur. Plus mon outil sera respectueux de l’environnement, plus j’en serai fier. Si à mon niveau je peux protéger la planète, c’est important. J’avais ça sûrement en moi mais SOBAC a été le déclencheur. Ce que j’aime chez SOBAC, c’est qu’ils vendent leurs produits mais que derrière il y a un suivi. Ils reviennent voir ce qu’il se passe et ils nous l’expliquent. Ça nous oblige à prendre la bêche, à aller dans le champ avec eux. Avec Julien, mon technico-commercial, je fais au moins 2 ou 3 tours dans les champs par an. Ça va dans le bon sens au niveau de la marge. Et je vais commencer à mieux voir les retombées sur le carburant et l’usure des pièces. SOBAC a sa part dans ces évolutions mais c’est toute mon approche qui a évolué. » Résultats Meilleur développement racinaire Pas de problèmes particuliers au niveau des maladies Problèmes d’humidité ont diminué Meilleure structure du sol : moins de carburant et moins d’usure de sol Arrêt de P et K et forte réduction d’N