bandeau image
icon-temoignage

Témoignages et résultats

Témoignage
6 traitements / an au lieu de 10 à 14 dans le voisinage
Didier Lardière
6 traitements / an au lieu de 10 à 14 dans le voisinage
Viticulteur
2021
Saint-Palais
64120
Pyrénées-Atlantiques

Culture/Production

Didier Lardière, avec sa fille Véronique et son petit-fils Maël, sont viticulteurs à Saint Palais en Gironde.

L'exploitation : 20 ha de vignes appellation Blaye Côtes de Bordeaux et le reste en Cognac.

Produit/Usage

  • Quaterna Plant (depuis 2013) / Support de culture pour une parfaite réussite des plantations
  • Bactériosol concentré (depuis 2013) / pour améliorer la fertilité des sols naturellement
0

Témoignage

Si Didier Lardière a laissé la main à sa fille Véronique et à son petit-fils Maël, il est toujours très présent sur l’exploitation et suit avec attention les effets du BACTÉRIOSOL et du QUATERNA Plant.

6 traitements/an au lieu de 10 à 14 dans le voisinage

"On m’a parlé de SOBAC il y a 7 ans lors d’une journée portes ouvertes. Je ne connaissais même pas le nom, mais ça m’a donné envie d’essayer. J’employais déjà des engrais organiques et j’étais donc très à l’écoute des procédés qui pouvaient remplacer la chimie. J’ai rencontré Solène de SOBAC et j’ai tout de suite ensemencé tout le vignoble avec BACTÉRIOSOL. J’ai vu très vite des résultats. Ma fille Véronique me disait :  "Tu as regardé les vignes ? Elles sont plus vertes que chez les voisins"

 

Aujourd’hui je n’utilise plus rien de chimique sur les vignes. L’entrepreneur qui vient pour les vendanges ne comprend pas pourquoi j’ai des grains aussi beaux et me demande ce que je mets dessus. Je suis descendu à 6 traitements par an contre 10 à 14 dans le voisinage. J’ai peu ou pas de mildiou et je fais largement mes quotas avec la moitié moins de traitements.

L’an dernier, mes vignes étaient de toute beauté et je n’avais pas de grains flétris comme partout autour.

 

« AVEC QUATERNA PLANT, ÇA POUSSAIT À VUE D’ŒIL »

 

La structure du sol a changé. En pleine sécheresse, quand je vois Solène enfoncer sa fourche dans la terre, je suis encore surpris de voir une telle souplesse du sol. Cette année j’ai eu une nouvelle occasion de me dire que j’avais fait le bon choix. Sur 3 500 plants de vigne, nous avons mis du QUATERNA Plant.

 

Nous avons fait cette opération le 1er juillet et un mois plus tard, les plants avaient déjà des pousses d’1,40 m alors que nous étions en pleine sécheresse et qu’ils n’avaient été arrosés que le jour de la plantation.

 

Ça poussait à vue d’œil, c’était impressionnant. Mon petit-fils n’en revenait pas.

 

J’ai rencontré SOBAC au bon moment et en plus, humainement, j’ai fait de belles rencontres. En fait, quand on m’a parlé de SOBAC, ce qui m’a fait essayer, c’est le côté totalement naturel du procédé. C’est pour cela aussi que je n’ai pas hésité avec le QUATERNA Plant. Ça a un coût mais ça vaut la peine.

 

« PAR RAPPORT À L’ENVIRONNEMENT, C’EST LA VOIE DE L’AVENIR »

 

Nous sommes bien en viticulture raisonnée-raisonnable. N’employer que du cuivre comme en bio ça a aussi ses limites et un jour plus rien ne poussera car le cuivre s’accumule dans les sols.

 

C’est vrai que l’eau s’infiltre mieux. Derrière de grosses pluies je me demandais si je pourrais passer avec le tracteur et j’ai été très surpris de voir à quelle vitesse la terre avait pris l’eau.

 

Au niveau du stress hydrique, je vois les différences avec les voisins.

 

 

Nos vignes souffrent moins. Les plants sont moins sensibles aux maladies et avec le QUATERNA Plant nous allons assurer un meilleur enracinement qui va forcément apporter de la robustesse à la plante.

 

Je parle autour de moi de notre nouvelle façon de travailler et je sens les collègues à l’écoute. Certains ont d’ailleurs essayé, dont un œnologue de la région. Il y a un viticulteur qui est venu avec son fils dernièrement.

 

Ils ont 40 ha de vigne et ils n’en revenaient pas de voir des vignes enherbées aussi vigoureuses.

 

En appellation Blaye côtes de Bordeaux, les quotas sont de 52 hl/hectare et nous sortons entre 55 et 65 hl. Le reste part en vin de France. Sur les vignes, nous mettons 200 kg/ha de BACTÉRIOSOL Concentré.

 

Avec Véronique et Maël, nous sommes dans la même philosophie et ils vont pérenniser cette façon de travailler. Par rapport à la demande sociétale, par rapport à l’environnement, je pense que c’est la voie de l’avenir."

 

Résultats

  • Meilleure structure du sol
  • Vignes plus vertes et vigoureuses
  • Infiltration de l’eau améliorée
  • Résistance aux maladies développée
  • Plante plus robuste
  • Diminution des traitements phytos
  • Meilleure reprise et pérennité des plants