Témoignage et résultats Cyril et Didier Condomines En moins de 3 ans, on est passé de 235 litres à 273 litres de lait Éleveurs d'ovins lait 2022 Saint-Sernin-sur-Rance 12380 Aveyron Culture/Production Cyril est installé depuis 1997 et Didier depuis 2006 sur le GAEC de la Courbarie. L'exploitation c'est : 150 hectares dont 40 ha de céréales et le reste en herbe : luzernes, prairies multi-espèces et prairies naturelles. 470 brebis à la traite. Produit/Usage Bactériolit (depuis 2017) / Pour valoriser les effluents d'élevage Bactériosol concentré (depuis 2016) / Pour augmenter la fertilité naturelle des sols Témoignage Didier et son neveu Cyril ont déjà observé beaucoup de changements après 4 ans d’utilisation de BACTÉRIOLIT. Avec une terre plus riche et plus facile à travailler, l’herbe produite est plus appétente et les résultats sont impressionnants : moins de problèmes sanitaires, augmentation du poids des agneaux, augmentation de la production et de la qualité de lait avec moins de brebis et une marge qui a grimpé de 15 000 €. Didier : On avait essayé un premier produit « spécial litières » vers 1985, on a continué jusqu’en 1990 mais c’était compliqué à épandre. On a arrêté pendant 20 ans. On voulait avoir un sol argilo-calcaire plus facile à travailler et faire aussi remonter le pourcentage de l’humus. Cyril : On voulait limiter tout ce qui est engrais et chaux Didier : Nous étions aussi allés voir un profil de sol chez un utilisateur SOBAC. On voit nettement la différence. Celui qui appliquait BACTÉRIOSOL était en conventionnel et le témoin était bio. Côté SOBAC, la roche était mangée en profondeur alors que l’autre côté était compact. Nous avons commencé en 2016. Nous avons fait un essai avec BACTÉRIOSOL sur une moitié de champ où les brebis n’allaient jamais manger d’elles-mêmes. Au printemps suivant, elles y sont allées directement. On est venu au BACTÉRIOLIT en 2017. Depuis, on ensemence tous les fumiers. « EN MOINS DE 3 ANS, ON EST PASSÉ DE 235 LITRES À 273 LITRES DE LAIT » Didier : On a vu revenir le trèfle sur les parcelles et ça a été rapidement plus facile à travailler. L’herbe repart plus facilement à la première pluie. Sa qualité est meilleure puisque la quantité de lait produite par brebis augmente un peu chaque année. On est passé de 235 litres à 273 litres en moins de 3 ans. Cette année, nous avons démarré la saison avec un litrage plus élevé. Cyril : L’ambiance a bien évolué dans les bergeries. Avec les agneaux, nous n’avons plus de problèmes de diarrhées. On a aussi supprimé à 90 % l’arthrite. Sur les brebis, pendant longtemps on a eu des problèmes avec les boutons du pis, staphylocoque doré et on n’en a plus. Pour le sélénium, c’est la même chose on a arrêté le Séléphérol® qu’on donnait pour le « raide ». Didier : Ça fait effectivement quelques années que nous n’avons plus de problèmes sanitaires. Cette année, ça a été mieux car on a mis BACTÉRIOLIT directement sur le ciment dès qu’on a curé. « EN AZOTE, ON EST PASSÉ DE 18 À 12 TONNES EN 4 ANS » Cyril : BACTÉRIOLIT colonise tout de suite la litière et c’est beaucoup mieux. Il n’y a plus aucune odeur. On a baissé les quantités d’azote. Nous étions à 18 tonnes il y a 4 ans et cette année on est passé à 12 t. On retourne à nouveau vers les légumineuses. Les luzernes n’ont pas tenu à cause des saisons de pluie et maintenant on mélange avec du trèfle. On va donc encore diminuer l’azote en semant plus de méteils. Didier : En passant sur une parcelle avec le quad après une forte pluie, ça ne marque pas alors qu’avant ça l’aurait fait. La terre avait déjà épongé une grosse quantité d’eau. Les prairies résistent mieux, la reprise après sécheresse est plus rapide. Le semis direct marche mieux aussi. Avant on ne réussissait pas à avoir de résultats alors que là, ça marche bien pour recharger. Ça fait déjà plus de 15 ans qu’on a arrêté la potasse, le phosphore et la chaux depuis 4 ans. Au niveau du sol, ça ravine moins. « L’OBJECTIF EST D’ATTEINDRE 300 LITRES DE LAIT PAR BREBIS » Cyril : On a pour objectif d’atteindre les 300 l de lait par brebis. Depuis 2 ans, on note vraiment une évolution sur le poids des agneaux. Ils partent à 15 kg de moyenne alors qu’avant il en restait beaucoup et ils étaient à 13 kg. En les gardant la même durée, on gagne presque 2 kg. Didier : On est autonome en fourrage, paille, grains. On achète juste un peu d’aliment pour les laitières et agnelles. Et encore, nous sommes en train d’essayer le lupin pour ne pas avoir autant d’aliment à acheter. Au niveau de la qualité du lait, nous avons monté de quelques points. La marge brute a progressé de 15 000 €. Résultats Sol plus facile à travailler Meilleure qualité du lait Augmentation de la quantité de lait 0 problème de diarrhées Marge brute en progression