Témoignage Thibaut Bretonnet Ne plus mettre de PK, aujourd'hui c'est une grosse économie Céréalier 2022 Rouvres-Saint-Jean 45300 Loiret Culture/Production Présentation : Thibaut Bretonnet est céréalier dans le Loiret. Utilisateur des solutions SOBAC depuis 2013. L'exploitation c'est 293 ha sur blé tendre, blé améliorant, orge de printemps, petits pois, maïs, betteraves, colza et pommes de terre. Produit/Usage Bactériosol concentré (depuis 2013) / Pour augmenter la fertilité des sols naturellement. Témoignage Avec 2 sites d’exploitation distants de 25 km, un à Rouvres-Saint-Jean l’autre à Aulnay-la-Rivière, Thibaut Bretonnet a décidé d’aller vers une conduite plus vertueuse de son exploitation. À 100 % utilisateur de BACTÉRIOSOL, il a arrêté le PK, diminué les phytos de 30 %, les fongicides de 50 %, réduit son arrosage et travaille maintenant sur la diminution d’azote. Thibaut : « Nous avions fait quelques essais vers 2010 mais nous n’avions pas été convaincus et avec mon père nous n’avions pas donné suite. En 2014, un commercial est revenu avec un produit plus concentré dont on épand moins de quantité à l’hectare. J’étais prêt dans ma tête, j’ai accroché. Aujourd’hui toute la ferme est en BACTÉRIOSOL et le profil de sol que nous avons fait l’an dernier m’a encore plus conforté. J’appréhendais un peu ce profil. Je me demandais ce qu’on allait trouver en dessous. Déjà, quand on a fait le premier trou on est tombé sur une veine de tuf, de la pierre calcaire, c’est la meilleure parcelle de la ferme et je croyais qu’il y avait deux mètres de terre. A côté, dans la partie BACTÉRIOSOL, il y avait aussi du tuf mais la terre n’était pas du tout pareille. Dans la partie sans BACTÉRIOSOL, les racines descendaient à 1 m et à côté ça descendait à 1m50. Le pH était beaucoup plus homogène côté SOBAC. Pour ce qui est des galeries de vers de terre, elles étaient deux fois plus nombreuses. Ça m’a vraiment conforté dans ma démarche. NE PLUS METTRE DE PK C’EST AUJOURD’HUI UNE GROSSE ÉCONOMIE Sur Aulnay, j’avais deux parcelles de betteraves, une avec BACTÉRIOSOL et l’autre sans et au point de vue irrigation, j’ai vu que je pouvais moins arroser celle qui était ensemencée SOBAC. Elle retient mieux l’eau. En rendement, je n’ai pas vu de différence. Par contre, ne plus mettre de PK c’est aujourd’hui une grosse économie quand on voit les tarifs pratiqués. On en mettait sur l’orge, le maïs, la betterave et le colza. Si en plus on peut diminuer de 30 unités l’azote cette année comme me le demande le technico-commercial SOBAC, ça va être intéressant. C’est vrai que sur l’azote j’ai plus de mal à franchir le pas. Quand on voit la flambée de l’azote entre autres on se dit quand même qu’on est privilégiés de travailler avec SOBAC dont les prix ne sont pas soumis à ces fluctuations mondiales. En BACTÉRIOSOL je travaille à 100 kg/ha et 200 kg/ha sur les parcelles de betteraves et maïs pour faciliter mon organisation de travail. Au niveau rendements, je suis comme les voisins. Je travaille avec mon beau-frère, nous avons les machines en commun. En rendements on est bien et comme je suis très faible en engrais et en phytos, au niveau de la marge, il n’y a pas photo Avec BACTÉRIOSOL et sans PK, il y a un vrai retour sur investissement, cela varie selon les années de l’équilibre à 30 €/ha d’économie sur 300 ha, c’est quand même intéressant. On a fait des analyses sur les betteraves et sur la qualité des céréales avec une diminution d’azote de 30 unités. Il n’y avait pas de différence notoire, pas de diminution de protéines par exemple. Les terrains se labourent bien, on voit que le sol vit mieux, qu’il est mieux structuré. Le passage à 100 % BACTÉRIOSOL sur mon exploitation, c’est avant tout pour redonner une meilleure structure aux sols. Pour ce qui est de l’adoucisseur pour les produits phytos, nous avons commencé en 1999 et avec notre nouveau système + BACTÉRIOSOL depuis 6 ans nous réduisons les phytos d’au moins 30 %. Sur les fongicides je suis à 50 % de diminution, sur les désherbages j’y vais doucement, mais tout va dans le même sens. IL Y A ENCORE DES ÉCONOMIES À FAIRE C’est pour ça que c’est important d’être en partenariat avec une entreprise comme SOBAC qui est un des acteurs reconnus par le ministère de la Transition écologique dans le cadre du label bas-carbone. C’est valorisant dans le contexte actuel. Si nos pratiques vertueuses pouvaient être en plus valorisées financièrement ce serait encore mieux. On va dans le bon sens avec notre système par rapport à la planète. Ça fait 2 ans que je suis à 100 % SOBAC, j’utilise BACTÉRIOSOL sur toute mon exploitation et j’ai encore de la marge au niveau de l’azote. » Dominique, le père : « La suppression des engrais chimiques, du PK même si l’azote est toujours présent, c’est une vraie révolution. Quand Thibaut a recommencé je pensais : c’est une erreur. Mais c’est lui le responsable de l’exploitation et je lui ai dit : tu essaies, tu verras bien. Je me dis qu’aujourd’hui il n’a pas à rougir de ses rendements. Ils sont aussi bons. Ça fait huit ans qu’il fait cela et pour l’instant ça va. On a fait des analyses de sol et il n’y a pas de chutes d’éléments. Thibaut : Quand on regarde nos sols on voit que la vie s’est améliorée, c’est pour ça qu’on est à 100 %. Il faut être convaincu par le procédé pour bien le mettre en place. On va essayer d’approfondir le pilotage de l’eau et de l’azote dans les années à venir car il y a encore des économies à faire. Résultats Il utilise BACTÉRIOSOL depuis 2013, pour augmenter la fertilité des sols naturellement. Un enracinement bien plus profond Un pH beaucoup plus homogène Des galeries de vers de terre 2 fois plus nombreuses Un sol qui retient bien mieux l'eau : économies d'arrosage D'importantes économies car plus de PK Un vrai retour sur investissement Le sol vit mieux, il est mieux structuré Réduction des phytos d'au moins 30 % 50 % de diminution des fongicides