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Témoignages et résultats

Témoignage
Frederic Becht, viticulteur
Frederic Becht
Le profil de sol m'a convaincu à 500 %
Viticulteur
2022
Dorlisheim
67120
Bas-Rhin

Culture/Production

Frederic Becht est viticulteur. Il travaille avec son père, Pierre à Dorlisheim, en Alsace. L'exploitation c'est un domaine familial de 23 ha de vignes, ¾ en bouteilles et ¼  vendu en vrac. Il y a toujours eu de la vigne dans la famille Becht. C’est d’ailleurs l’arrière-grand-père de Frédéric qui a construit la première maison sur le domaine. Frédéric et Pierre ont décroché cette année le Grand Prix du jury du Mondial des vins blancs avec un Riesling 2015 estampillé SOBAC.

Il est utilisateur des solutions SOBAC depuis 2009

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2009) / Pour augmenter la fertilité des sols naturellement et la pérennité du vignoble.
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Témoignage

Frederic Becht, viticulteur

« Mes parents faisaient du vin qui était bon et moi, j’avais l’ambition de faire du vin très bon et à ce moment-là je recherchais les moyens de faire ressortir les aspects terroir dans nos vins. SOBAC m’a fait me poser des questions et j’aime ça. 
J’ai fait des essais de 2008 à 2010 où j’ai vu des différences en vinification sans savoir vraiment d’où ça venait. J’ai arrêté BACTÉRIOSOL de 2011 à 2013, puis j’ai ensemencé une parcelle de 2014 à 2016 et là, j’ai clairement identifié BACTÉRIOSOL comme étant à l’origine de la qualité des vins. J’ai pu faire des vinifications comparatives, aller plus loin dans mon expérimentation. 
C’est surtout au niveau de la salinité et de l’expression d’un terroir que j’ai vu des évolutions. La salinité c’est vraiment quand on goûte un vin et qu’on a une grande salivation qui se fait à l’intérieur de la bouche et ça c’est le signe d’une bonne adéquation et d’une bonne expression du terroir. 

En 2018, je suis passé à 100 % de mes surfaces avec BACTÉRIOSOL. J’ai vu plus d’homogénéité au niveau des plantes, un sol plus meuble simplement, plus de fourmis, de vers de terre, d’araignées, de vie. Et si il y avait besoin de me convaincre encore plus, il y a eu le profil de sol que nous avons fait cet été avec Christophe Frebourg. Le jour et la nuit entre les fosses SOBAC et Témoin, sachant qu’en plus le témoin était de très bonne qualité. Je me suis senti comme Hulk, j’ai réussi à casser des cailloux attaqués par les bactéries avec les mains, dans le sol ensemencé avec BACTÉRIOSOL. C’est un truc de malade. 

 

1 mètre de différence d’enracinement 

 

Le jeune qui a fait la fosse était abasourdi. Dans la fosse Témoin, il avait du mal à sortir les cailloux en profondeur alors que dans la seconde, il mettait le godet au fond et ça sortait très facilement. Au niveau vers de terre c’était 3 fois plus de galeries avec l’eau qui pénètre mieux dans les sols. Même après une année aussi humide, le sol était ressuyé, propre avec une odeur sympathique de champignons, d’humus frais. Il y avait aussi une homogénéité dans le sol après simplement 4 ans d’utilisation de BACTÉRIOSOL. Il y avait 1 mètre de différence d’enracinement. Quand on cherche l’expression du terroir, on comprend plein de choses en découvrant cet enracinement. Les pieds de la vigne étaient beaucoup plus propres avec beaucoup moins de vieilles écorces. Les fourmis et autres insectes avaient fait leur travail de nettoyeurs. Et partout, des filaments blancs de champignons, autant en surface qu’en profondeur qui colonisent les racines qui s’installent en créant des mycorhizes et font le lien avec le sol. 


Le profil de sol m’a convaincu à 500 % et j’ai dit pendant la réunion : « J’espère ne pas avoir fait trop de bêtises dans mon existence mais ne pas avoir continué à ensemencer toutes mes vignes avec BACTÉRIOSOL en 2010, ça reste la plus grosse bêtise de ma vie ».
Même en période de grosses précipitations je vois mes vignes moins stressées, une expression de la maladie atténuée.

 

Des équilibres acides très intéressants

 

Au niveau du raisin, j’ai noté des équilibres acides très intéressants malgré une année froide et tardive. On essaie toujours d’avoir des acides maliques et tartriques aussi équilibrés l’un que l’autre et cette année c’est le cas. Au niveau du sucre, nous avons des degrés honorables. J’apporte beaucoup d’attention à la maturité du raisin. Les pépins étaient bruns très rapidement avec une maturité gustative du raisin atteinte assez rapidement et peut-être une meilleure adéquation entre la maturité et le taux de sucre. C’était plus cohérent que les années précédentes. 
C’est toujours notre problème de récolter des raisins à maturité mais sans qu’il y ait trop de sucre. On cherche la maturité physiologique de la vigne et du raisin et surtout du pépin car c’est lui le vrai fruit de la vigne. 
Dans le produit final, il y a une acidité plus mûre qui s’intègre mieux à la structure du vin qui a aussi gagné en complexité et en intensité. Je me rapproche vraiment de l’objectif que je me suis fixé il y a 15 ans.
 

BACTÉRIOSOL, c’est un des éléments-clé

 

Cette année nous avons eu le Grand Prix du jury du mondial des vins blancs. C’est le seul concours mondial reconnu par l’OIV, l’organisation internationale du vin, qui rassemble uniquement des vins blancs. 
C’est un Riesling sélection de grains nobles 2015 alors que nous étions de nouveau en BACTÉRIOSOL. C’est une reconnaissance de tous les choix que nous faisons au niveau des vignes, de la cave, une reconnaissance du travail de l’équipe. 
BACTÉRIOSOL, c’est un des éléments-clé et c’est lui qui va engager tout le processus de vie du sol, à la profondeur gustative du vin.


Nous avons de nombreuses parcelles sur différents types de calcaires et je veux voir si ces différents types de calcaires peuvent se retrouver dans le vin. Nous avons une parcelle de muscat sur grès et là, j’attends que la finesse du grès se manifeste dans le vin. 
Sur des parcelles à problèmes, avec plus d’eau et d’humidité, BACTÉRIOSOL nous aide à ce que l’eau percole plus facilement et que le pied de vigne se rééquilibre.
La terre a retrouvé de la porosité. En 2015, l’année qui me vaut cette distinction, il y avait une grosse sécheresse et cette parcelle a continué à mûrir alors qu’il y avait des blocages de maturité un peu partout dans le vignoble. Je suis arrivé à une étape mais il y a encore des choses à améliorer. 

 

Les prochaines plantations se feront avec QUATERNA Plant

 

La vigueur générale de la vigne fait qu’elle est moins malade. Les œufs de mildiou passent l’hiver au sol et si BACTÉRIOSOL apporte plus de micro-organismes dans ce sol, alors ça se passe moins bien pour les spores de mildiou et les attaques peuvent être plus tardives au printemps. Cette année, j’ai testé des bactéries contre l’oïdium. Je ne doute pas que BACTÉRIOSOL puisse lutter contre ça, vu la multitude de microorganismes qu’il contient. Mildiou, botrytis, oïdium, je crois à une solution SOBAC.
On a essayé QUATERNA Plant cette année. Jai trempé les pieds pour 20 ares et j’ai fait 20 ares sans. Deux mois après, ceux qui ont eu QUATERNA Plant sont deux fois plus grands que les autres. Et quand on en arrache un, on voit que les racines sont deux fois plus longues, qu’elles s’orientent vers le bas et cherchent la profondeur du sol. Il y a une multitude de radicelles toutes blanches alors que sur le plant témoin, les racines ont tendance à remonter avec beaucoup moins de jeunes radicelles. 
Les prochaines plantations se feront avec QUATERNA Plant. Ça m’a clairement agréablement surpris. 
 

Résultats

  • Une meilleure qualité des vins (au niveau de la salinité et de l'expression du terroir)
  • Une acidité plus mûre qui s'intègre mieux à la structure du vin 
  • Des vins qui ont gagné en complexité et en intensité
  • Plus d'homogénéité au niveau des plantes
  • Un sol plus meuble, plus poreux, plus vivant aussi
  • L'eau pénètre mieux dans les sols
  • Un bien meilleur enracinement
  • Des pieds de vignes beaucoup plus propres avec moins de de vieilles écorces
  • Mes vignes sont moins stressées
  • Des équilibres acides très intéressants
  • Grand prix du jury du mondial des vins blancs obtenu en 2021