Témoignage Vincent Olmos La désalinisation des sols, c’est un sujet primordial ici Viticulteur et Maraîcher : Vignes et melons 2021 Armissan 11110 Aude Culture/Production Vincent Olmos, viticulteur et Maraîcher : Vignes et melons: 100 ha de SAU dont 50 ha de vignes, 30 ha de melons et 20 ha de céréales. Installé en 1997, puis rejoint par sa femme Christine en 2005 et leur fils Florian en 2018 Produit/Usage Bactériosol concentré (depuis 2018) / Pour améliorer la fertilité des sols naturellement Témoignage Avec des secteurs agricoles entiers rayés de la carte à cause de l’excès de salinité, Vincent Olmos attend beaucoup de BACTÉRIOSOL dont l’écosystème contient des bactéries pouvant lutter contre ce fléau. " Ce n’était pas possible de continuer à apporter autant de chimie dans les sols. C’est un semencier en melons qui m’a sensibilisé en 2017 au BACTÉRIOSOL. J’étais curieux de voir ce que ce produit, qui n’était pas un engrais, pouvait apporter. Nous avions essayé plusieurs choses mais on ne sortait pas du NPK. Nous avons fait un essai sur une moitié de champ mais il faut avoir confiance car la plante pousse moins vite au départ. « L’ENRACINEMENT EST SUPER PUISSANT » Je me suis très vite rendu compte que la terre était plus souple. Je gagne un rapport sur le tracteur lorsque je travaille la terre. En 2ème année, nous avons refait des essais sur melons et vignes et en 2020 nous avons ensemencé 100 % de nos surfaces avec BACTÉRIOSOL. Sur la plante, je remarque que le feuillage est plus épais. Elle grandit à son rythme mais elle résiste mieux aux attaques extérieures. Il y a moins de maladies sur les plantes et l’enracinement est super puissant. Cette année, avec les inondations, les plants de melons se sont retrouvés complètement sous l’eau. Nous pensions que tout allait crever mais nous avons fait une récolte normale. Ça n’arrivait jamais avant. En melons, nous avons gagné en calibre qui est beaucoup plus homogène. Nous avons beaucoup moins de problèmes d’accroche sur nos parcelles de melons et moins de fleurs qui avortent. En production, nous sommes dans la moyenne haute de la coopérative. Nous commençons à faire des émules. Ça interpelle quand même nos collègues producteurs. Nous avons mis BACTÉRIOSOL sur des plantiers (des jeunes vignes qui ne produisent pas encore) et j’ai été très surpris de récolter 3 t/ha. Sur ces plantiers, les bois sont d’ailleurs incroyables. Je pense que je ne maîtrise pas encore complètement BACTÉRIOSOL et je ne me suis pas encore totalement libéré de mes pratiques anciennes mais je reste dans l’idée que je dois continuer à mettre de moins en moins de chimie dans les sols. Ce n’est pas possible que le sol digère tout ce qu’on lui mettait. Au-delà de la santé des sols, il y a aussi des économies à faire à tous les niveaux. « LE SENTIMENT D’AVOIR CHANGÉ » Oui, j’ai le sentiment d’avoir changé. Je regarde beaucoup plus mes sols, les vers de terre. Dernièrement, nous avons arraché une vigne et sur les piquets en bois, c’était plein de vers. Ici, nous sommes sur une ancienne île. Le sel et la terre qui se mélangent font que nous sommes en limite de fertilité. Nous perdons des secteurs entiers à cause de ces excès de sel. Quand on lit que BACTÉRIOSOL peut agir sur la désalinisation des sols, ça nous interpelle dans la région car ici c’est un sujet primordial. Je me sens beaucoup mieux en travaillant avec ce concept. Je n’ai plus cette peur de respirer des produits dangereux pour ma santé et j’ai le sentiment de mieux respecter la nature. Travailler avec SOBAC nous aide à pousser plus loin notre réflexion. Dans un mois nous allons passer en HVE (Haute Valeur Environnementale), tout va dans le même sens. Mon fils Florian est content de nous voir prendre cette direction et il faut que nous continuions à nous désintoxiquer de nos habitudes antérieures. Il faut être aidés pour en sortir et ce que nous attendons de SOBAC c’est un suivi afin d’être totalement rassurés. Cette saison 2020 a été très difficile en melons. Nous avons eu deux inondations et des pluies incessantes par la suite. Et malgré tout cela, en volume nous y sommes. J’ai un îlot de melons de 6 ha fertilisé avec BACTÉRIOSOL depuis 2 ans et il a fait la différence de façon incroyable cette année. Au final, nous réussissons à faire une année normale quand d’autres n’ont rien fait du tout. Il nous restait une parcelle de 2 ha en conventionnel et ça a été une catastrophe. Le champ n’a jamais démarré en production. Résultats Un enracinement super puissant Un feuillage plus épais Moins de maladies sur les plantes Calibre des melons beaucoup plus homogène Beaucoup moins de problèmes d’accroche Moins de fleurs qui avortent