bandeau image
icon-temoignage

Témoignages et résultats

Témoignage
Nous sommes passés de 21 000 à 26 000 € de chiffre d’affaires à l’hectare !
Tanguy Renou
Nous sommes passés de 21 000 à 26 000 € de chiffre d’affaires à l’hectare !
Maraîcher
2021
Poitevinière
49510
Maine-et-Loire

Culture/Production

Tanguy Renou est un maraîcher avec 24 ha de légumes, 3 ha sous serre et 70 cultures différentes. Utilisateur des solutions SOBAC depuis 2017 et installé à Poitevinière , Maine-et-Loire.

 

Produit/Usage

  • Bactériolit (depuis 2017) / Support de culture pour une parfait réussite des choux
  • Quaterna Plant (depuis 2017) / Pour développer le pralinage des racines
0

Témoignage

En 3 ans avec SOBAC, Tanguy Renou a vu son exploitation se transformer. Moins de maladies sur les cultures, une structure de sol idéale et au bout, un chiffre d’affaires qui progresse de plus de 30 %

Nous sommes passés de 21 000 à 26 000 € de chiffre d’affaires à l’hectare !

Nous avions des carences partout, des problèmes au niveau de l’eau, nous n’étions pas réguliers dans les serres. On voyait des blocages sur les cultures. Ça démarrait bien et ça s’arrêtait net. Il y avait ce qu’il fallait dans le sol mais les échanges ne se faisaient pas de façon satisfaisante entre la plante et le sol.

 

En 2017, nous sommes partis avec des fumiers ensemencés avec BACTÉRIOLIT. Dès la deuxième année, nous avons fertilisé 100 % des surfaces avec le concept SOBAC. Les observations les plus flagrantes ont d’abord concerné la structure des sols. Nous avons vite obtenu cette terre fine qu’on recherche en maraîchage. Tout était plus facile alors qu’avant c’était passage et repassage.

Sous serre, il n’y a plus eu de blocages. Par exemple sur les épinards, ça partait bien et ça jaunissait. Ça n’arrive plus. Sur les choux de printemps, là aussi le problème est réglé. Les cultures sont plus homogènes, plus faciles à mener.

 

"NOUS AVONS CONSIDÉRABLEMENT RÉDUIT LA PRESSION FONGIQUE"

 

Maintenant en 3ème année, on voit une meilleure résistance aux maladies.

 

Il y a eu une semaine avec des nuits fraîches et avant, avec ce genre de phénomène, nous avions l’oïdium qui tombait sur les carottes.

 

Cette année, nous n’en avons pas eu une seule trace. Même chose avec le mildiou, il n’y a pas eu de traitement. Nous n’avons utilisé aucun fongicide sur les carottes. Nous avons considérablement réduit la pression fongique. Nous avions la sclérotinia dans les sols avec des problèmes en reprise sur salades, tomates et poivrons. Nous n’avons plus aucun problème.

 

Je ne mets plus du tout de produit fongique qu’on utilisait pour lutter contre la sclérotinia.

 

Côté sécheresse, avant quand il faisait très chaud, il y avait un flétrissement des légumes, surtout les carottes et les poireaux. Maintenant, la plante ne bouge plus.

 

Quand on voit la touffe de racines qu’ont aujourd’hui les poireaux, on comprend vite. Nous sommes passés entre 2018 et 2019 de 21 000 € à 26 000 € de chiffre d’affaires à l’hectare, ce qui est énorme. Nous avons un rendement commercial qui est plus haut. Nous avons de très bons retours sur la qualité de nos légumes

"UN CHIFFRE D’AFFAIRES EN PROGRESSION DE 30 %"

 

La portance des sols est meilleure. L’hiver dernier sur des parcelles très humides, nous avons réussi à arracher tous les poireaux à la machine alors que les années précédentes, il fallait le faire à la main. Avant, on montait avec un calot de terre à chaque poireau. C’est fini.

 

On gagne 3 ou 4 h de travail de lavage et de prélavage.

 

 

Nous travaillons sur la reprise de plants. Nous avons de bons résultats avec le QUATERNA Plant sur les choux. Nous allons développer le pralinage des racines.

 

Nous sommes en maraîchage raisonné-raisonnable et ça convient parfaitement à notre clientèle. Nous faisons les deux marchés de Cholet. Nous avons fait une journée portes ouvertes l’an dernier et nous avons eu plus de 500 visiteurs.

 

En tomates, c’est fou comment nous avons gagné en calibre et en régularité, même en début de saison. Nous avons arrêté les compléments minéraux.

 

Entre 2018 et 2019, nous sommes passés de 106 000 € d’EBE à 144 000 € soit plus de 30 % de progression.

 

C’est bien parti pour être sur le même rythme cette année. »