Résultats De l'autonomie et de la performance en système polyculture-élevage 2021 Une plus-value économique de 22 079 € Ahuillé 53940 Mayenne INTRODUCTION : Depuis 1998, Valérie et Dominique s’évertuent à valoriser au mieux leur outil de production en prenant soin de ce qu’ils cultivent et des animaux qu’ils élèvent. Depuis 2017, la société SOBAC les accompagne dans une démarche de production en autonomie et de rentabilité globale de leur système. Le tout en s’assurant de la fertilité de leurs sols et en capitalisant sur l’avenir et la continuité de leur exploitation. 1. LE CONTEXTE Valérie et Dominique gèrent une exploitation de polyculture-élevage de 175 ha. Ils élèvent 100 vaches laitières depuis 2014 (90 % Prim Holstein et 10 % Normandes), 2 000 porcs/an (750 places) et cultivent 108 ha de céréales de vente (colzablé-orge). Après plusieurs agrandissements et évolution de leur structure, ils cherchent à stabiliser leur système. 2. LES OBJECTIFS - Optimiser la production laitière - Mettre en place un système simple et autonome - Réduire les intrants - Améliorer la fertilité des sols et homogénéiser les rendements - Améliorer la gestion de l’eau dans les sols - Dégager du temps libre - Préparer la transmission vers leur fils, Hugues Afin d’atteindre ces objectifs, ils se sont rapprochés de SOBAC et depuis 2017, ils ont mis en place le concept sur l’ensemble de leur exploitation. 3. LES PERFORMANCES LAITIÈRES DU GAEC DE VILLENEUVE Évolution du système et des données technico-économiques : Outre une diminution de 74 ha de la SAU (suite au départ d’un associé en 2017 : 64,5 ha de céréales et 9,5 ha de SFP), le système est resté globalement stable mais s’est intensifi é avec une réduction de la SFP pour un nombre de vaches laitières constant. Le chargement est passé de 1,9 UGB/ha à 2,2 UGB/ha soit + 0,3 UGB/ha Retours et évolutions technico-économiques sur l'atelier laitier : CONCLUSION : La mise en place du concept SOBAC sur l’exploitation a contribué à l’amélioration de la qualité des sols et des fourrages produits. Cette qualité se traduit par une meilleure valeur alimentaire des fourrages qui permet d’optimiser la production tout en améliorant la qualité du lait et donc de gagner en autonomie. Tout cela malgré une réduction de la SFP et des coûts de concentrés stables. La mise en place de BACTÉRIOLIT et BACTÉRIOSOL a contribué à l’amélioration globale de l’état sanitaire du troupeau avec notamment, une réduction des frais vétérinaires de 7 564 € et une réduction de 22 % du nombre de cellules. BILAN ÉCONOMIQUE : GAIN MOYEN DE PRODUCTION LAITIÈRE + 5 035 € GAIN SUR PLUS-VALUE QUALITÉ DU LAIT + 9 480 € pour une production de 790 000 RÉDUCTION DES FRAIS VÉTÉRINAIRES 7 564 € SOIT UNE PLUS VALUE ÉCONOMIQUE DE 22 079 € Découvrez le témoignage de Dominique DUROY
