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Témoignages et résultats

Témoignage
Amélie Von Leithner du Haras du Cisai, éleveuse de chevaux de course, utilisatrice des solutions SOBAC (61).
Amélie Von leithner
C'est primordial d'être sorti du chimique
Eleveuse de chevaux de course
2016
Cisain St Aubin
61230
Orne

Culture/Production

Amélie von Leithner éleveuse de chevaux de course au Haras de Cisai à Cisai-Saint-Aubin (Orne). Le haras comprend 30 hectares de pâtures Amélie est Installée depuis 2011.

 

Produit/Usage

  • Bactériolit (depuis 2014) / Valorisation des effluents d'élevage

Témoignage

Quand Amélie von Leithner a acheté ce site, fin 2010, 3 hectares seulement étaient exploités et clôturés. Avec deux boxes et une trentaine d'ha, dont 27 en friche, elle a tout repris à zéro et s’est tournée vers la SOBAC, sur les conseils d’un autre propriétaire de haras. La propriétaire suédoise travaille aujourd’hui sur une vingtaine de boxes avec huit poulinières et leurs produits.

" J’ai connu la SOBAC en 2014. On m’avait recommandé au départ de mettre des engrais chimiques, mais ça ne me plaisait pas du tout. Je suis dans une région très bio ici. A Cisai-Saint-Aubin, il y a trois exploitations agricoles en agriculture biologique et une dernière en reconversion. Je ne peux pas en être à cause de certains traitements que j’ai à faire sur les chevaux, mais je veux m’en approcher le plus possible.

 

Ce qui m’a interpellée, c’est le fait de pouvoir remettre les chevaux sur les pâtures après avoir mis le Bactériosol

 

Et surtout que ce concept développe la flore des prairies et améliore la structure des sols.
Vu l’état des terrains, nous avons commencé avec de fortes doses. Je voulais avant tout avoir une herbe plus variée et de meilleure qualité, mais aussi faire en sorte que mon sol argileux se décompacte et absorbe mieux l’eau lors d’importantes précipitations.

 

C’était des terres hydromorphes et il fallait donc faire tout de suite un ensemencement radical avec Bactériosol pour que ça réagisse vite.
Ça s’est déjà rapidement amélioré.

 

La flore s’est nettement diversifiée et progresse d’année en année. Les plantes parasites comme les joncs  ont tendance à diminuer nettement

 

Le support reste humide mais la portance est meilleure. Je me rends compte que j’ai de plus en plus de terrains que je peux utiliser l’hiver, où il y a de l’herbe tout le temps et où les chevaux pataugent pas dans la boue. Il y a encore beaucoup de chemin à faire, mais nous allons dans la bonne direction. D’autre part, certains prés ont mieux résisté à la sécheresse l’été dernier.
Je suis en train de trouver une harmonie sur le travail dans ce haras qui me prouve que je vais dans le bon sens.

 

Pour moi c’est primordial d’être sortie du chimique et d’ensemencer les sols avec du Bactériosol UAB

 

Je n’ai pas d’obligation à le faire mais c’est une question de respect par rapport à mes deux voisins producteurs de lait bio. Je n’imagine pas une seconde qu’il puisse y avoir des ruissellements qui aillent chez eux et qui ne soient pas conformes à leurs pratiques.

 

Je ne me verrais pas repartir demain dans un système conventionnel.
Ça a bien sûr un sens pour moi que la SOBAC ait été invitée à la Cop21. Tout cela compte dans ma façon de voir les choses. La grande question qui se pose est toutefois si les accords de la COP21 vont vraiment être respectés.

 

Nous sommes toujours dans un souci d’amélioration de la flore des prairies afin que les chevaux bénéficient de l’herbe la plus riche et la plus équilibrée possible.
On veut continuer à optimiser ce terroir en sachant que nous sommes sur une terre qui a un potentiel intéressant, même si ce n’est pas la meilleure de la région.

 

Aujourd’hui, je ne veux pas agrandir mon exploitation, mais simplement en améliorer la qualité de mes produits, et la SOBAC est l’un des maillons que j’ai choisi pour accompagner cette démarche.
Je veux produire des chevaux bien dans leurs têtes et bien dans leurs corps. Ça va prendre beaucoup de temps mais c’est mon objectif.
On va tous être obligés de se tourner vers des solutions alternatives pour aider la planète, cela devient urgent. On ne peut pas vieillir sans penser à cela. "

 

Résultats

Le Bactériosol et le Bactériolit sont employés sur les terres du Haras de Cisai avec pour objectifs de développer le potentiel des parcelles et obtenir une flore de qualité pour des chevaux de sport.

 

  • Amélioration, régulation de la flore qui est plus diversifiée.
  • Meilleure portance notamment l'hiver.
  • Optimisation du potentiel du sol.