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Témoignages et résultats

Témoignage
bruno rey, arboriculteur
Bruno Rey
On a progressé au niveau du goût des produits
Arboriculteur
2023
Parnans
26750
Drôme

Culture/Production

Bruno Rey est arboriculteur dans la Drôme.

Son exploitation c'est : 37 ha de noix dont 22 ha de noix de Grenoble, 10 ha de Lara dont 5 ha de Serr, une variété américaine précoce / 1 ha de pommes / 1 ha d’abricots et kiwis. Bruno est installé depuis 1988 sur l’exploitation familiale

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2015) / Pour augmenter la fertilité des sols naturellement.
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Témoignage

Bruno Rey, arboriculteur, noix

Avec ses parents, Bruno Rey a connu l’âge d’or du tabac de Virginie dont ils ont cultivé jusqu’à 4 hectares dans les années 80. La pression du lobby anti-tabac sur l’Europe a eu raison de cette production. Bruno s’est alors tourné vers les abricots, plus précisément le Bergeron, dont il eut jusqu’à 8 hectares dans les années 90. Même si la concurrence espagnole a eu raison de cette production, ces belles années ont permis de financer, dans les années 2000, la mise en place des 37 hectares de noyers.

Ça faisait 30 ans que je bourrais mes sols d’engrais mais le technicien me disait qu’il fallait continuer à en mettre. Je mettais 500 à 600 kg/ha, surtout de l’engrais minéral potassique ceux qui représentait environ 20 t de produits chimiques.

Il y a 7 ans, un commercial SOBAC est venu me voir et m’a convaincu de faire un essai sur 10 ha. J’ai mis BACTÉRIOSOL à l’automne 2015.

Je l’ai épandu 2 mois après la récolte, sur les abricotiers et sur une partie des noyers. Puis, en hiver, après une période pluvieuse, j’ai fait le tour de mes parcelles et j’ai pu constater les premiers changements. La ramure des noyers a tendance à ramener l’eau au pied des arbres et là, sous les noyers, il n’y avait pas d’eau, alors que chez les voisins ça baignait. Au bout de 6 mois, il n’y avait plus de nappes d’eau sur le sol ni les ruissellements habituels.

 

Le sol avait tout absorbé

 

Dès la deuxième année, j’ai mis BACTÉRIOSOL sur toutes mes parcelles. Avec Claire, la technicienne de SOBAC, nous avons fait le tour des parcelles avec une bêche pour observer l’évolution du sol et j’ai trouvé cela intéressant. J’avais aussi une parcelle où j’avais de la mortalité sur mes arbres avec des sols acides et un peu battants : quand j’arrachais les arbres j’avais 20 cm de terre noire et dessous, c’était tout jaune. Il y avait deux horizons : les 20 cm humiques noirs et en dessous la terre jaune. Ça n’allait pas plus loin. Avec BACTÉRIOSOL, je me suis aperçu que, petit à petit, les vers de terre commençaient à descendre la matière organique. Il n’y avait plus cet horizon marqué. L’an passé, on a fait un profil de sol comparatif avec un témoin sans BACTÉRIOSOL. Il y avait 3 fois plus de galeries de vers de terre sur la parcelle avec BACTÉRIOSOL.

 

Voir cette vie revenir, c'est un peu jouissif

 

Ce qui m’a le plus marqué c’est qu’il y avait moins d’horizons différents, que l’enracinement partait plus en profondeur avec un pH plus régulier et une odeur de champignons. Là où on a fait le profil, à 2m de profondeur, on était au niveau de la nappe phréatique.
Cela faisait 3 ans que je n’irriguais plus cette parcelle de fond de vallée et tout allait bien grâce à un meilleur enracinement, une meilleure porosité et remontée capillaire de l’eau.

 

Avec BACTÉRIOSOL, on est revenu à ce qu’il y avait ici il y a 30 ans, à l’époque où on n’irriguait pas. Voir cette vie revenir c’est un peu jouissif. Depuis, j’ai acheté une bêche pour suivre l’évolution. Je me mets à sentir la terre, alors que je ne l’aurais jamais fait auparavant !
Avant, avec les fongicides, c’était 4 traitements par an pour les noyers, alors que maintenant je ne mets plus que des oligoéléments en cours de saison. J’ai juste fait un traitement fongicide en fin de saison. Pour la variété Serr, avant d’utiliser BACTÉRIOSOL, il y avait beaucoup de maladies et je perdais beaucoup de fruits. Je n’arrivais pas à m’en sortir, les arbres avaient 20 ans. Je ne récoltais que 500 kg/ha alors que sur les autres vergers, je récoltais 2 à 3 tonnes/ha.
Même en traitant, on n’arrivait pas à stopper les maladies, cela commençait sur les feuilles, puis sur les fruits et les nécrosaient jusqu’à leur chute. Après la première année d’utilisation de BACTÉRIOSOL, de 500 kg de production, je suis passé à plus d’1 tonne. Les maladies étaient toujours présentes, mais elle n’avaient pas évolué. L’arbre résistait ce qu’il ne faisait pas avant.

 

Les feuilles ne font plus la cuillère

 

En azote, je suis carrément descendu de 90 unités à 50 la première année. C’est un gros risque et les arbres n’ont plus la même couleur que les autres. En revanche, en période de forte chaleur, ils résistent mieux et les feuilles ne font plus la cuillère.
Avec BACTÉRIOSOL j’ai beaucoup moins ce phénomène et la résistance à la sécheresse est nette. J’ai commencé à réduire l’irrigation
même si au début on est un peu réticent, il faut changer nos habitudes. Petit à petit, en ramenant de la vie en profondeur, cela augmente les réserves en eau du sol.

 

On a progressé au niveau du goût des produits

 

Après 6 ans d’utilisation de BACTÉRIOSOL, on constate une nette amélioration du goût et de la qualité du produit. Les fruits se conservent davantage.
J’aime observer mes sols, ils ont complètement changé d’odeur et de couleur, on sent l’humus et la terre naturelle que l’on a dans les sous-bois. Je suis heureux d’avoir retrouvé cet équilibre dans mes terres. »

 

Résultats

  • Amélioration de la vie du sol
  • Meilleure résistance à la sécheresse
  • Progression de la qualité du produit
  • Meilleur goût des fruits
  • Moins de pression maladies
  • Diminution des traitements vergers