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Témoignages et résultats

Témoignage
Christian Gervas, viticulteur et éleveur de brebis dans l'Aveyron.
Christian Gervas
Fidèle à la SOBAC depuis 26 ans, Je me sens quand même un peu pionnier
Viticulteur / éleveur d'ovins lait
2017
Salles-la-Source
12330
Aveyron

Culture/Production

Christian Gervas est viticulteur et éleveur de brebis laitières à Salles-la-Source (Aveyron). Installé depuis 1991

 

Son exploitation : 80 hectares dont 3 ha de vigne en AOP Marcillac, Vins (producteurs récoltants, vente directe), 6 hectares de céréales, le reste en prairies naturelles, luzerne et parcours.   300 brebis laitières en appellation Roquefort.

 

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 1993) / Pour la fertilisation des vignes et des cultures.
  • Bactériolit (depuis 1993) / Pour valoriser les effluents d'élevage.
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Témoignage

Christian Gervas fait partie des clients historiques de la SOBAC à qui il est fidèle depuis plus de 20 ans. Avec son troupeau de brebis ou avec ses vignes, il dit avoir trouvé une harmonie dont il est fier.

" Quand il voyait arriver des commerciaux, mon beau-père disait : « Tiens, voilà les marchands de vent… ». Pourtant moi, lorsque j’ai rencontré Christophe Mézy en 1993, j’ai tout de suite accroché au discours. Ça m’a intéressé et j’ai commencé à l’époque avec des semis d’orge d’hiver à côté d’un voisin qui faisait les mêmes cultures en conventionnel. En février, mon orge était verte comme du poireau alors que la sienne commençait à sécher. Les luzernes aussi étaient beaucoup plus vertes jusqu’au pied. En plus, j’avais confiance car Marcel Mézy est à la base un paysan et pour moi c’était un gage de sérieux et de compétence dans cette démarche qui était quand même révolutionnaire à l’époque. 

 

Vingt-quatre ans plus tard, je suis toujours fidèle à la SOBAC, c’est quand même un signe…

 

Petit à petit, j’ai fait évoluer mes pratiques et aujourd’hui tous mes effluents sont ensemencés avec Bactériolit et je m’y retrouve bien financièrement. Entre les fumiers ensemencés et le Bactériosol, j’ai maintenant trouvé une harmonie et je continue à voir des évolutions. Ça fait vingt-six ans que je bonifie mon outil de travail qui est quand même composé d’une terre argilo-calcaire compliquée. Avec un meilleur enracinement, une plus grande porosité des sols, je vois l’évolution sur le long terme. Ce ne sont plus des vers de terre mais des serpents que j’ai dans le sol ! Les vers sont énormes…

 

Avec une terre qui absorbe mieux les précipitations, je n’ai plus de phénomènes d’érosion et ça, c’est très important pour moi. Je travaille un rang sur deux dans la vigne et elle profite bien, on la sent robuste
J’ai suivi un chemin que je n’ai jamais eu envie de quitter. Aujourd’hui on voit des concurrents qui se mettent à lancer sur le marché des produits qui essaient de copier ce que fait la SOBAC. C’est quand même la preuve que Marcel Mézy avait raison. 

 

Fier de travailler comme je le fais

 

En fait, il faut voir ce concept dans sa globalité et sur le long terme. Aujourd’hui, les gens sont trop pressés, ils veulent tout, tout de suite. La terre, ça ne marche pas comme ça. 
Quand vous comprenez qu’il faut donner à manger à la terre pour qu’elle le rende ensuite à la plante, vous avez déjà fait un grand pas. La chimie, c’est tout le contraire. Je me sens souvent plus bio que les bio, mais je suis bien dans cette pratique raisonnable. 

 

Je suis autonome en foin, la qualité de mes fourrages est indéniable. Au niveau de la qualité du lait que je livre à Coulet pour le Roquefort, je suis bien placé. Dans les prairies, là où il y avait avant de l’herbe grossière que les brebis ne mangeaient pas, il y a aujourd’hui du trèfle blanc et d’autres espèces qui sont revenues. Les prairies ont refait le plein de légumineuses et il n’y a plus de refus. En plus dès qu’il pleut un peu, ça repart beaucoup plus vite. Au niveau santé animale, on ne voit quasiment plus le vétérinaire. C’est en ces termes d’harmonisation globale qu’il faut appréhender le problème. 

 

En plus, et ça on ne me l’enlèvera jamais, je suis le premier au monde à avoir travaillé mes vignes avec du Bactériosol !!!
Je suis fier de travailler comme je le fais. J’ai l’impression, à mon niveau, de travailler pour la planète. 
Je me sens quand même un peu pionnier ». 
 

Résultats

Il utilise du Bactériosol pour apporter une fertilisation naturelle sur les vignes et les céréales et aussi du Bactériolit pour valoriser les effluents d'élevage.

 

  • En février, mon orge était verte comme du poireau.
  • Les luzernes aussi étaient beaucoup plus vertes jusqu’au pied.
  • Je m’y retrouve bien financièrement.
  • Ça fait vingt-six ans que je bonifie mon outil de travail.
  • Un meilleur enracinement, une plus grande porosité des sols.
  • Une terre qui absorbe mieux les précipitations => plus de phénomènes d’érosion.
  • La vigne est robuste.
  • La qualité de mes fourrages est indéniable.
  • Il y a aujourd’hui du trèfle blanc et d’autres espèces qui sont revenues.
  • Il n’y a plus de refus.
  • Dès qu’il pleut un peu, ça repart beaucoup plus vite.
  • Au niveau santé animale, on ne voit quasiment plus le vétérinaire.