Témoignages et résultats

Corinne : « Depuis que nous n’avons plus d’élevage et donc plus de fumier, on voyait bien qu’il manquait quelque chose. On en a vu défiler des commerciaux. Puis un jour, Geoffroy est arrivé et nous a parlé de SOBAC, de bactéries, de champignons qui faisaient travailler le sol et ça nous a plu. 
Au départ on a fait des essais par moitié de parcelles en noisetiers, en différentes variétés et on a mis BACTÉRIOSOL dans les situations les plus difficiles. Volontairement. C’était en 2015. J’avais pris 6 t de l’ancienne formule. Et en 2016, j’ai pris BACTÉRIOSOL Concentré.

La première chose que j’ai vue c’est que la chlorose sur les noisetiers avait disparu. 
Michel, père de Corinne : " En 2ème année, en noyers il y avait un rang en bordure qui produisait toujours moins que les autres. Et cette année-là, il a produit comme les autres ."

Moins d’usure, moins de carburant

Corinne : C’est là qu’on a décidé de faire un essai avec Unicoque, la coopérative de noix et de noisettes avec qui je travaille. J’ai demandé qu’ils fassent un essai avec SOBAC pour bien quantifier les effets. Tous les vergers de l’exploitation sont ensemencés en BACTÉRIOSOL. 
 

Au niveau du sol, c’est beaucoup plus souple. C’est plus aéré et on a eu confirmation de nos impressions quand on a fait le profil de sol. Je ne pensais pas voir des effets aussi profondément. Ce qui m’a le plus surprise c’est la décompaction du sol, les racines qui descendent plus profond et le pH qui est régulier sur toute la hauteur. 

Michel : Avec SOBAC, nous avons beaucoup moins de passages sur les parcelles et nous épandons BACTÉRIOSOL à une période où nous avons plus de temps puisque c’est tout de suite après la récolte. Nous avons le sentiment d’avoir simplifié le travail. On passe moins de temps, on consomme moins de carburant, on use moins vite le matériel.

Nous sommes dans la partie haute au niveau rendements

Corinne : Après 3 ans d’essais avec la coopérative, nous avons eu la restitution des résultats. La conclusion est que BACTÉRIOSOL apporte des améliorations au niveau du sol avec un meilleur fonctionnement du système racinaire, de meilleurs échanges et qu’il y a une économie au niveau des coûts de fonctionnement.
On est les mieux placés au niveau des économies d’intrants mais aussi par rapport au nombre de passages et la facilité du travail. 

Ce qu’on a vu sur les 3 ans d’essais avec la coop, c’est que nous sommes dans la partie haute au niveau rendements

Michel : Avant, dès qu’on en avait fini avec un engrais, il fallait recommencer avec un autre. 

Corinne : On fait 5 passages en moins en noisetiers dans l’année, 4 passages au lieu de 9. Pour mon confort de vie, ce n’est pas négligeable de réduire son temps de travail. 
Au niveau maladies, quand il y a des attaques de pucerons on s’aperçoit qu’ils vont moins s’attaquer à la parcelle où il y a BACTÉRIOSOL. La décomposition des feuilles est beaucoup plus rapide pendant l’hiver et elles vont nourrir la terre plus rapidement. On le voit peut-être plus vite en noyers.

Nous sommes dans les clous par rapport à l’environnement. Nous pouvons aussi discuter autour de nous sur nos pratiques culturales. Dans le contexte sociétal, avec la pression qu’il peut y avoir par exemple avec le voisinage, nous nous sentons plus à l’aise en travaillant comme ceci. 
Avec BACTÉRIOSOL, cela peut s’avérer être un gros plus, avec l’arrêt des phytos, pour mettre en place des défenses naturelles au niveau du sol et de l’arbre pour limiter les attaques d’insectes obtenir la qualité et les rendements souhaités. 
Nous avons commencé à utiliser QUATERNA Plant à la plantation de nouveaux arbres. Cela s’est fait dans des conditions idéales et les deux côtés sont bien partis. »