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Témoignages et résultats

Témoignage
Eric Rivière, éleveur de porcs, bovins, caprins et ovins à la Réunion, utilisateur de Bactériolit.
Eric Rivière
Un résultat au-delà de nos espérances
Éleveur de porcs, bovins, brebis et caprins.
2017
Le Piton Saint Leu
97424
La Réunion

Culture/Production

Eric Rivière est éleveur sur le GAEC de Grande Terre à Saint-Leu (île de la Réunion) avec son frère Jean-Max. Ils élèvent des porcs (45 truies), des bovins (130 taureaux à l’engraissement sur paille), des moutons (100 brebis) et des cabris (80 chèvres) et possèdent dix hectares de prairies. Ils utilisent le Bactériolit, depuis 6 ans, sur le lisier dans les fosses et sur les fumiers.

Produit/Usage

  • Bactériolit (depuis 2011) / Valorisation des effluents (fumiers et lisiers), réduction des odeurs.
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Témoignage

Le Gaec des frères Rivière est particulièrement en pointe à la Réunion et ils ont été des pionniers dans l’utilisation du procédé SOBAC. Herbe de meilleure qualité, meilleure santé animale, Eric Rivière ne cache pas sa satisfaction d’être sorti du chimique. Ils cherchaient un procédé qui réduisait avant tout les odeurs des effluents.

 

Un résultat au-delà de nos espérances

 

" Nous cherchions un procédé qui réduise avant tout les odeurs avec tout le fumier et le lisier que nous produisons. Très vite c’est tout le confort autour des animaux qui s’est amélioré. Aujourd’hui, après six ans de pratique avec le Bactériolit, nous n’avons quasiment plus de frais vétérinaires chez les bovins alors qu’avant il y avait toujours quelque chose à régler, des boiteries, des diarrhées. Et puis, la décomposition des effluents est beaucoup plus rapide et efficace.

 

Au niveau de la qualité de l’herbe, l’amélioration est flagrante. Nous n’utilisons plus du tout d’intrants chimiques

Le sol revit, c’est palpable. Il continue d’ailleurs à s’améliorer.  Économiquement, nous sommes gagnants car en foin nous avons augmenté nos rendements. Et puis en plus, la qualité est là, par le comportement des animaux ça se voit de suite que les fourrages sont plus appétents.

 

Au niveau environnemental, nous avons des parcelles près des maisons et nous n’avons plus de soucis pour épandre nos fumiers et lisiers puisque le problème des odeurs a été réglé. J’ai un voisin qui est en production porcine qui s’y est mis également et il est très content des résultats.
Ici le bouche-à-oreille fonctionne, et je pense que la place de la SOBAC va très vite grandir à la Réunion. Nous étions dans les premiers à nous lancer mais on sent qu’il y a une vraie curiosité autour de ce procédé. Nous sommes gagnants financièrement et en plus, nous sommes tout près du Bio.

 

C’est bien de se dire qu’on ne pollue pas la nature et qu’on améliore la qualité de nos sols

 

Nous sommes les deuxièmes producteurs de bovins à la Réunion et nous sommes forcément observés. Les gens s’intéressent à ce que nous faisons et personne n’est insensible aux effets du Bactériolit sur notre exploitation. Nos prairies de fauche sont magnifiques avec le fumier ensemencé avec Bactériolit, la différence se voit à l’œil nu.

 

Même chose pour le troupeau, que ce soit les bovins, les porcs ou les chèvres, les troupeaux respirent la santé.
Nous avons bien sûr été fiers de lire que la SOBAC avait été invitée à la Cop21 à Paris et à la Cop22 à Marrakech. C’est une vraie reconnaissance qui nous donne envie de continuer dans cette voie.
Marcel Mézy est venu sur l’exploitation et c’est important pour nous qu’il se déplace pour nous parler de son procédé. Outre le fait de réduire les odeurs, nous voulions améliorer la qualité de nos terres et le résultat va au-delà de nos espérances.

 

C’est impressionnant de voir à quelle vitesse la vie est revenue dans nos sols. Je pense qu’à la Réunion, avec notre climat chaud et humide, le Bactériosol et le Bactériolit trouvent un terrain idéal pour donner le maximum. Tant mieux pour nous !"

 

Résultats

Eric Rivière et son frère emploient du Bactériolit pour ensemencé leur fosse à lisier et leurs fumiers, car en tant qu'éleveurs ils produisent beaucoup d'effluents et avaient pour premier objectif de réduire les odeurs de ces effluents d'élevage. De plus ils voulaient valoriser les fumiers et lisiers. Aujourd'hui ils n'utilisent plus d'engrais chimiques.

 

  • Réduction des odeurs des effluents d'élevage.
  • Quasiment plus de frais vétérinaires chez les bovins. 
  • Une décomposition des effluents beaucoup plus rapide.
  • Une meilleure qualité de l'herbe.
  • Meilleure santé animale. 
  • Plus d'engrais chimiques.
  • En foin, une augmentation des rendements.
  • Amélioration de la qualité des sols : « la vie est revenue dans nos sols ».