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Témoignages et résultats

Témoignage et résultats
Christophe et Fabian Weiss, arboriculteurs, utilisateurs de Bactériosol
Christophe Weiss
On fait revivre nos sols sans produits chimiques et on continue de faire des rendements énormes
Arboriculteur
2016
Marsillargues
34590
Hérault

Culture/Production

Christophe Weiss, arboriculteur à Marsillargues (Hérault), installé avec son fils Fabian, sa femme et sa sœur. Son exploitation : 40 hectares de pommiers de variétés précoces comme Gala et Reine des reinettes, et aussi Granny Smith et Pink Lady.

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2014) / Fertilisation des vergers
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Témoignage

Ici, tout le monde l’appelle « le Suisse ». Et on observe avec attention ses résultats depuis qu’il travaille avec le concept SOBAC. Christophe, lui, ne reviendrait pour rien au monde en arrière.

" On m’a bien expliqué le principe du Bactériosol avec les bactéries, les champignons qui le composent. On m’a parlé aussi de mycorhizes et ça a été le déclic. Je me suis dit que ça pouvait être une solution pour mieux développer le système racinaire des plantes.


Nous avons commencé sur six hectares et toutes les cinq/six semaines, je faisais un prélèvement de terre.

 

Les résultats ont été rapidement très intéressants

 

En potasse, les valeurs ont grimpé pendant toute la saison. La courbe SOBAC montait et celle de la fertilisation classique descendait. J’ai décidé de me lancer à 100 % l’année suivante et darrêter les vingt tonnes d’intrants chimiques.  

 

Concernant les maladies, cette année la pression en oïdium a commencé à baisser. Avec la meilleure harmonie entre le sol et la plante, les feuilles résistent mieux aux maladies, aux champignons. Il y a plus de matière sèche même dans les feuilles. Depuis six ans, on fait des analyses sur les rameaux, sur les réserves en hiver dans le bois. On avait des carences en bore, en zinc. Après deux ans en Bactériosol, ces carences ont disparu. J’ai arrêté complètement les oligo-éléments.

 

Ça fait 114 euros d’économie à l’hectare par exemple


Nous résistons beaucoup mieux à la sécheresse. En irrigation, nous étions à un arrosage tous les dix jours. Maintenant nous sommes à treize-quatorze jours. 
Quand il y a de grosses précipitations orageuses, ça se passe également beaucoup mieux. Avant, sur une parcelle Pink Lady qu’on récolte tardivement, en novembre, on massacrait les terrains. Cette année, j’ai constaté que l’eau ne restait plus dans les ornières. 

Depuis que je travaille avec la SOBAC, je fais beaucoup plus attention aux sols, j’accompagne leur renaissance. 


Au bout de deux ans, la fermeté de la pomme a progressé. Il y a plus de matière sèche. L’année dernière, nous avons eu des tonnages énormes et normalement, plus l’arbre est chargé, moins il y a de sucre dans le fruit. Et bien, on a eu des taux de sucre remarquables.
Nous avons aussi fait redémarrer des jeunes vergers avec la SOBAC et ils sont revenus en croissance alors qu’avec les engrais chimiques nous avions échoué. 


Il y a eu une " Portes ouvertes ", avec un profil de sol cette année sur notre exploitation. Il y avait une fosse dans une de nos parcelles ensemencée avec Bactériosol et l’autre chez le voisin sur le même type de sol. En conventionnel, la pelle a eu du mal à entrer dans le sol.

 

Chez nous, ça rentrait comme dans du beurre

 

Il n’y avait plus de mottes, plus de blocs, ça coulait. Et jusqu’à deux mètres de profondeur, il n’y avait aucune rupture de capillarité. 
Nous avons trouvé des racines jusqu’à 1,70 m de profondeur. J’étais bluffé. Au niveau des vers de terre c’était la même chose. Chez nous 620 galeries, et chez le voisin, 120. 
En 98, quand nous sommes arrivés ici, la terre était quasi stérile.
J’ai une grande fierté de travailler comme ça
Le Bactériosol c’est une démarche vers l’éco-responsabilité.

 

On fait revivre nos sols sans produits chimiques et on continue de faire des rendements énormes 


Nous sommes dans une procédure d’apprentissage et ça me passionne.  Ce sont de nouveaux horizons qui s’ouvrent à nous. "

 

Résultats

Il utilise du Bactériosol depuis 2014 pour la fertilisation des vergers.

 

  • Suppression des 20 t d’intrants chimiques.
  • La pression en oïdium a commencé à baisser.
  • Les feuilles résistent mieux aux maladies, aux champignons.
  • Des carences qui ont disparu.
  • 114 euros d’économie à l’hectare.
  • Meilleure gestion de l'eau.
  • Qualité de la pomme améliorée.
  • De très bons rendements.
  • Réduction des arrosages.