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Témoignages et résultats

Témoignage et résultats
Cannes à sucre en Martinique
Françoise Elisabeth et Jean-Christophe Lenerand
Le retour de la vie est impressionnant
Cultivateurs de cannes à sucre
2017
Rivière-Salée, Martinique

Culture/Production

Françoise Elisabeth, responsable de l’exploitation et Jean-Christophe Lenerand, chef de production  sur la SAS Canasuc à Rivière Salée (Martinique) L'exploitation : 600 hectares dont 300 ha de canne à sucre. 

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2016) / Pour apporter une fertilisation naturelle.
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Témoignage

Françoise Elisabeth est d’une nature prudente mais cette fois elle est persuadée d’avoir trouvé la solution à ses problèmes avec le Bactériosol. La structure des sols évolue très vite, et en période de tallage, le nombre de tiges de canne à sucre est plus important. Des appréciations quantitatives et qualitatives décisives.

Françoise Elisabeth : « Notre exploitation est une des trois plus importantes de Martinique pour la canne à sucre. Cette plaine du Sud est un polder avec des terres riches mais argileuses et difficiles à travailler. Quand il pleut c’est de la boue très collante. 
Il y a deux ans un commercial était passé et nous avait laissé deux sacs pour faire des essais. Nous n’avions pas l’info qu’il fallait laisser du temps entre la mise en place du Bactériosol et le passage pour un herbicide et quand j’ai vu du jaunissement sur les feuilles, j’ai paniqué et nous avons remis de l’engrais. Cet essai a donc eu un effet nul mais nous en avons vite connu la cause.


Quand nous avons reçu la visite de Marcel Mézy, nous avons beaucoup discuté sur la façon de travailler avec le Bactériosol. J’ai eu un très bon contact avec lui. Il a inventé un incroyable procédé et il est arrivé ici avec son bâton de pèlerin, avec beaucoup d’humilité et de simplicité. Je l’ai tout de suite senti proche de nous. 
Nous avons donc refait un essai sur un hectare, moitié Bactériosol, moitié engrais ». 


Jean-Christophe Lenerand :

 

La partie ensemencée avec Bactériosol est partie plus lentement mais en deux mois et demi, elle avait rattrapé le demi-hectare avec engrais chimiques, avant de le dépasser


Après six mois de Bactériosol, Christophe Frebourg est venu faire un profil de sol qui a tout de suite été parlant ». 
 

Françoise Elisabeth : « Le chauffeur de la pelle a tout de suite vu la différence. Ici la terre argileuse est particulièrement collante et avec la pelle mécanique, il faut quasiment descendre du tracteur à chaque coup de godet pour le débourrer. Là, ça avait complètement évolué et la partie Bactériosol ressemblait beaucoup plus aux terres du Nord de l’île, plus friable, avec du sable. La structure avait déjà changé ».

 

Jean-Christophe Lenerand : « Sur la partie traitée avec des engrais, il y avait une couche de tassement des pailles qui ne s’étaient pas décomposées. Il y avait de l’eau dans la fosse et une putréfaction des débris végétaux stockés. Dans l’autre fosse, ces débris avaient disparu et Christophe Frebourg avait les pieds au sec. Le sol a retrouvé sa porosité.
La terre s’est décompactée et l’eau mais aussi les racines des plantes peuvent se frayer un chemin.

 

Le retour de la vie est impressionnant

 

Françoise Elisabeth : « En période de tallage, au moment où de nouvelles pousses apparaissent en touffe, le développement est plus important côté Bactériosol, ce qui veut dire plus de tiges et donc plus de rendement. Nous allons calculer tout cela, que ce soit en tonnage et en qualité de canne produite mais il n’y a aucune raison que nous soyons déçus. Je pense que nous allons déjà ensemencer 50 hectares avec le procédé SOBAC cette année et ce ne sera qu’une étape.  
La culture de la canne à sucre est déjà à la base une culture propre par rapport à beaucoup d’autres. Si nous pouvons en plus sortir entièrement des engrais chimiques, ce sera que du bénéfice pour nous. Mais le plus important, c’est quand même de savoir qu’on va redonner de la vie à nos sols tout en étant plus productifs. 
Je sens que notre démarche commence à intéresser la concurrence qui aimerait bien en savoir plus pour pouvoir comparer avec leurs produits. Mais je ne suis pas née de la dernière pluie… ! »

Résultats

Ils utilisent du Bactériosol pour apporter une fertilisation naturelle sur les cultures de canne à sucre. 

 

  • Une terre plus friable.
  • Un sol qui a retrouvé sa porosité. 
  • La terre s'est décompactée.
  • Un retour de la vie impressionnant.
  • Un meilleur développement au niveau des pousse => + de tiges => + de rendement.
  • Plus de productivité.