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Témoignages et résultats

Témoignage et résultats
M. Landez, éleveur ovins dans le Tarn.
Jocelyn LANDEZ
On a gagné 7 jours d'engraissement
Éleveur ovins
2019
Saint-Paul-Cap-de-Joux
81220
Tarn

Culture/Production

Jocelyn LANDEZ est éleveur ovins à St-Paul Cap de Joux (81).

L'exploitation : SAU de 150 ha, dont 60 ha en prairies et 90 ha en céréales (orge, blé, blé dur, tournesol, féveroles, maïs, luzerne porte-graines, triticale) 420 brebis Lacaune en production de viande Label Rouge. Installé depuis 1984.  

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2016) / Pour augmenter la fertilité naturelle des sols.
  • Bactériolit (depuis 2016) / Pour valoriser les effluents d'élevage.
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Témoignage

Jocelyn Landez est un perfectionniste. Que ce soit par une génétique de pointe avec ses brebis Lacaune ou par son passage à 100 % dans le procédé SOBAC pour ses céréales et ses prairies, il tend vers l’excellence et affiche des résultats plus qu’encourageants.  

“ Je cherchais une solution pour faire revenir l’herbe manquante sur des parcelles séchantes. J’ai rencontré un conseiller SOBAC qui m’a dit que son procédé était parfait pour ça. J’ai fait un test avec BACTÉRIOSOL sur 10 hectares et dès la première année j’ai récupéré une botte de plus à l’hectare. Au niveau légumineuses, j’ai tout de suite vu revenir des trèfles qui avaient disparu ainsi que d’autres variétés.  Aujourd’hui, je travaille à 100 % avec les solutions SOBAC, 40 hectares en BACTÉRIOLIT et le reste en BACTÉRIOSOL.

 

Je suis en cinquième année et je constate déjà que les prairies tiennent plus longtemps

 

Avant, elles crevaient tous les 3-4 ans, maintenant elles tiennent jusqu’à six campagnes. Il se passe quelque chose au niveau du sol et donc de la plante qui a une meilleure résistance hydrique et un meilleur développement racinaire. Avec le BACTÉRIOLIT, les fumiers sont plus simples à épandre, ils se décomposent mieux. Les sols sont plus faciles à travailler, ils sont plus friables. Dans les bâtiments, on retrouve une litière plus souple. Fin septembre, nous avons fait un profil de sol et je n’aurais jamais cru trouver un pH aussi régulier de 0 à 1.50 m, ni des températures aussi régulières. On a retrouvé des galeries de vers de terre à 1.40 m.

 

Le sol est aéré, la vie est partout

 

Nous sommes à la croisée des chemins et c’est important de témoigner et de montrer ce qu’on fait. Il y a de plus en plus de gens qui se posent des questions et qui sont venus au profil de sol. Ils ont été encore plus surpris que moi. J’ai su après, que certains avaient même annulé des commandes d’intrants chimiques qu’ils avaient faites… C’est quand même que ça leur a parlé.

 

Au niveau de l’appétence des fourrages, il n’y a pas photo. Les brebis s’y retrouvent et encore plus avec l’implantation des prairies multi-espèces.

 

La marge aussi va dans le bon sens

 

Sur les céréales, on retrouve de la protéine qu’il n’y avait pas avant. Cette année, malgré une saison sèche et sur un sol qui n’est pas profond pour du tournesol, j’ai fait pour la première fois 25 quintaux/ha avec de la luzerne porte-graines dessous, alors que la moyenne ici tourne autour de 22/23 quintaux/ha en pur. Je suis totalement autonome au niveau fourrager. Les brebis mangent mieux le foin de ray-grass et celui de multi-espèces est un vrai plus.

 

Avec l’amélioration de l’ambiance dans les bergeries, on retrouve moins de pneumonies qu’avant. Depuis que je travaille avec la SOBAC, j’ai fait le choix de diminuer mon troupeau. Avant, j’avais 620 brebis pour 1100 agneaux, aujourd’hui j’en ai 420 pour 980 agneaux.

 

J’ai gagné 0,32 agneau par brebis à l’année

 

Ce qui fait 160 agneaux de plus, soit en gros 19 200 €. La génétique, SOBAC, c’est un tout qui fait évoluer l’exploitation. Les brebis assimilent mieux les fourrages qui sont plus riches. Elles sont plus en forme au moment de la mise bas. Du coup, la croissance des agneaux est plus rapide et ils consomment moins d’aliment. les brebis ont indéniablement plus de lait. On a gagné 7-8 jours d’engraissement chez les agneaux, ce qui fait 4-5 kilos d’aliment en moins par agneau. Dans quelques années, il faudra que je pense à la transmission de l’exploitation et l’idée me plaît de transmettre un jour un outil qui se sera bonifié, qui tient compte de l’évolution de la société. Je veux rester jusqu’au bout au plus près de la nature avec le moins d’interventions possibles et une réduction des intrants chimiques. Avec le BACTÉRIOSOL, je fais maintenant une troisième coupe systématique de ray-grass que je ne faisais pas avant. La marge aussi va dans le bon sens et c’est sûr que si on avait connu SOBAC plus tôt, on aurait fait autrement."
 

Résultats d'étude technico-économique chez M. Landez, éleveur ovins 1
Résultats d'étude technico-économique chez M. Landez, éleveur ovins 2

Résultats

Il utilise les solutions BACTÉRIOSOL et BACTÉRIOLIT depuis 2016 sur la totalité de l'exploitation.

 

  • Meilleure tenue des prairies
  • Meilleure résistance hydrique
  • Meilleur développement racinaire
  • Fumiers plus faciles à épandre, meilleure décomposition, litière plus souple, meilleure ambiance des bâtiments, moins de maladies
  • Sols plus faciles à travailler, vivants, un pH régulier
  • Plus de protéines, d'appétence dans les fourrages
  • Meilleure croissance des animaux, plus de lait
  • Une marge améliorée