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Témoignages et résultats

Témoignage
François Ménard, maraîcher
François Ménard
Des résultats hyper-marquants en qualité
Maraîcher et céréalier
2022
Saint-Julien-de-Concelles
44000
Loire-Atlantique

Culture/Production

 François Ménard est maraîcher et céréalier à Saint-Julien-de-Concelles (44). Installé en 2012.

L'exploitation : 130 ha de maraîchage de plein champ et 20 ha de grands abris froids. 160 ha de céréales

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2012) / Pour augmenter la fertilité des sols naturellement.
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Témoignage

François Ménard a commencé sa carrière en étant technicien en laboratoire avicole puis technicien agricole sur la Manche (Mont- Saint-Michel, Créances). Revenu sur Nantes pour s’occuper dans un premier temps d’exploitations maraîchères en cultures de tomates et concombres, il a une grosse affinité pour le hors-sol. Homme très technique il dit : « J’ai besoin de mesures pour avancer ». Avec SOBAC, il pense avoir franchi un cap.

François Ménard, maraîcher

« Nous produisons essentiellement des jeunes pousses de salades sur toute la gamme : roquette, épinard et on fait aussi de la mâche, du navet et des céréales (blé, colza, orge, maïs). Quand je suis arrivé, on ne mettait pas de matière organique, on ne s’intéressait pas au sol. En jeunes pousses, nous avions beaucoup de problèmes de sclerotinia qu’on réglait en chimique.

 

Puis, il y a eu l’arrêt du métham sodium et, à l’échelle de la région, beaucoup de questions se sont posées. Il fallait trouver des solutions plus naturelles. On s’est remis à mettre de la matière organique surtout en extérieur et un peu dans les serres.
En 2017, on savait que les traitements contre le rhizo allaient également s’arrêter. Chez SOBAC, j’ai été interpellé par le travail avec les champignons, les bactéries. J’ai un chef de culture qui est arrivé et qui utilisait déjà ce procédé chez son ancien patron.

 

En 2017, de très bons résultats avec SOBAC

On a fait quelques essais cette année-là, à petite échelle, avec SOBAC et, dès la première culture on a eu de très bons résultats. On faisait 25 % de rendement en plus.


Ces essais portaient sur 3 produits dont BACTÉRIOSOL, et un témoin non-traité. On a étudié l’analyse des sols, des plantes et des rendements. Côté SOBAC, les plantes étaient beaucoup mieux équilibrées. Il n’y avait aucune carence et le seul excès était en fer mais de façon beaucoup moins excessive que sur les autres essais. Concernant les autres éléments, potasse et phosphore, on était beaucoup mieux. Ça voulait donc dire qu’avec BACTÉRIOSOL on aidait la plante à se servir de ces éléments là dans le sol. Je me suis dit qu’il se passait quelque chose avec ce produit. L’année suivante, on a généralisé BACTÉRIOSOL sur les 20 ha de serres. Puis on a passé 2 ans, sans l’utiliser.

 

En 2019, suite à un échange avec un collègue du Val Nantais, j’ai rappelé le technicien SOBAC. Ce qu’il avait mis en place chez lui avec BACTÉRIOSOL démontrait très clairement, analyses à l’appui, que le pH et la matière organique du sol s’étaient améliorés de façon significative.

 

Des résultats hyper-marquants en qualité

 

On a fait une première culture et les résultats allaient dans le bon sens. On a coupé la parcelle en deux, redoublé les modalités et on a fait un côté avec couvert végétal et l’autre sans. Les résultats avec seulement 6 mois de recul étaient hyper marquants notamment en qualité. Du coup cette année-là, j’ai fait 30 ha de couverts et maintenant j’en suis à 80 ha.
 

On voit moins de jaunissement, on a une fixation, une réserve d’azote plus importante.
En plus, sur les deux modalités couvert-non couvert, il y avait un vrai plus côté BACTÉRIOSOL avec 10 % de mieux en rendement et la qualité était marquante. On passait d’un produit avec quasiment zéro défaut à quelque chose qui était entre 10 et 20 points (25 points c’est la limite de nos contrats).

 

Aujourd’hui, on met deux fois 200 kg de BACTÉRIOSOL. On a bien insisté sur la matière organique. On était à 1 point et là on doit être à 1,2 point. Ce que je veux, c’est que mes couverts photo-synthétisent au maximum pour qu’ils nourrissent mes sols de façon optimale. 

 

BACTÉRIOSOL favorise leur transformation en matière organique et humus. En termes de rendement et qualité de produit, on a pu mesurer tout ça. Pour avoir confirmation de nos premiers résultats, on a fait une fosse sans BACTÉRIOSOL et une avec BACTÉRIOSOL et de l’engrais minéral et une troisième avec BACTÉRIOSOL et engrais organique. L’élément le plus marquant, c’était la structure de sol. Côté BACTÉRIOSOL et engrais organique, la roche-mère était beaucoup plus friable. C’était très net. On voyait aussi que sur toute la terre arable, le pH était beaucoup plus régulier. Le troisième critère marquant, c’était la porosité.
 

Avec BACTÉRIOSOL, on améliore les qualités de la plante

 

Pour l’instant, je souhaite garder cette plateforme d’essais. À travers mon historique scientifique, j’ai besoin de mesurer les choses et, du coup, je me suis beaucoup investi dans l’étude des pH, des indices redox et dans l’utilisation des anti-oxydants. On travaille sur toute la partie engrais verts avec BACTÉRIOSOL.

 

Pour anticiper les défis et nouveaux enjeux de l’agriculture, le réchauffement climatique, le stockage de carbone, BACTÉRIOSOL pourrait s’avérer être l’élément déterminant que je recherche et qui correspond à mes objectifs en améliorant naturellement, le surcroît, la qualité des plantes et des sols ainsi que leur immunité. »

Résultats

  • 25 % de rendement en plus
  • Les plantes sont beaucoup mieux équilibrées
  • Le pH et la matière organique se sont nettement améliorés
  • une bien meilleure qualité des plantes
  • Une meilleure immunité
  • un sol beaucoup plus friable et plus poreux