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Témoignages et résultats

Témoignage
Jacky et Jérome Ferret, éleveurs de bovins allaitants et aviculteurs, utilisateurs des solutions SOBAC (79).
Biologique
Jacky Ferret
En herbe, on produit autant en bio qu’en conventionnel et avec une meilleure qualité
Éleveur de bovins viandes et aviculteur
2015
Saint pierre du chemin
85120
Deux-Sèvres

Culture/Production

Jacky et Annie Ferret sont éleveurs en EARL, installés depuis 1988 à Saint-Pierre du Chemin (Deux-Sèvres). Leurs fils Jérôme, 25 ans les a rejoins et bientôt Pierre 18 ans. Il s élèvent 55 charolaises, et aussi 12 000 pondeuses en Label Rouge. Ils possèdent 116 hectares dont six en parcours. 40 ha de prairies, le reste en céréales bio.

Produit/Usage

  • Bactériolit (depuis 2013) / Valorisation des fumiers et réduction des odeurs
  • Bactériosol concentré (depuis 2013) / Pour la fertilisation des terres.
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Témoignage

Jacky Ferret qui va bientôt être rejoint par ses deux fils sur l’exploitation, est convaincu d’avoir fait le bon choix avec un coût à l’hectare divisé par deux et un plaisir de travailler le sol retrouvé.

" C’est en 2007 qu’on a eu vraiment le déclic. Les intrants étaient très chers, et il fallait trouver une solution. J’ai participé à des sessions bios avec la Chambre d’Agriculture et ça m’a plu. Nous sommes en troisième année de conversion. Passer en bio, c’était bien mais je voulais faire du bio intensif. Il fallait trouver une alternative à l’azote et aux nitrates. On avait pour rotation : blé, maïs, colza et tournesol. Maintenant, nous avons supprimé le colza.

 

On est partis sur les protéagineux en association (triticale/pois, blé/féverole et introduit des légumineuses dans les couverts végétaux et les dérobés On fait manger 1/3 de la récolte de paille des méteils. Le triticale/pois, c’est ce qui est le plus facile à réussir avec le blé/féverole. 

Avec mes fils, Jérôme et Pierre, nous avons eu une réflexion à la fois environnementale et économique.

 

En herbe, on produit autant en bio qu’en conventionnel et avec une meilleure qualité

 

Sur les prairies, on n’utilise que le procédé SOBAC à l’automne, 5 t/ha de fumier de bovin ensemencé au Bactériolit. On s’aperçoit aujourd’hui que sur un hectare de prairie naturelle, on a fait autant de marge qu’en céréales. Les 55 vaches vivent sur 40 hectares de prairies naturelles. Sur le dérobé, on a fait 5 tonnes de MS/ha qu’on met en ensilage et en enrubannage. Elles vivent de ça l’hiver. 

 

Les prairies restent vertes plus longtemps et le troupeau se porte bien. L’hiver ça se voit particulièrement sur les veaux. On avait beaucoup de problèmes respiratoires que nous n’avons plus. Depuis qu’on ensemence avec Bactériolit, on a beaucoup moins de problèmes de diarrhées. On nettoie beaucoup moins souvent les litières. On fait moins de curatif. On ne voit plus ces séries de veaux avec des grippes.  

 

Sur les cultures, on mettait 20 tonnes d’ammonitrate, 25 tonnes de chaux. Tout ça c’est fini et depuis trois ans le pH n’a pas du tout diminué. Il est même beaucoup plus régulier.
Aujourd’hui, c’est la SOBAC qui correspond le mieux à notre démarche.

 

Comme la SOBAC est référencée, nous pouvons utiliser la fiente de poule comme amendement

 

Sinon, nous serions obligés de l’exporter. Alors qu’en Bio, c’est notre source d’azote. 
Nous sommes passés en bio et avec SOBAC, nous nous engageons sur du moyen et long terme. Là, au bout de 3 ans, on commence vraiment à en voir les effets.
Cette année, c’est net sur les maïs. On a eu deux gros coups de vent en fin d’été. Il y a beaucoup de parcelles de maïs dans la région qui ont été très abîmées voire détruites et chez nous ça n’a pas bougé. Ça montre que l’enracinement est meilleur.  

 

L’autre atout qui n’est pas négligeable, ce sont les odeurs au niveau des effluents. Avant de mettre le Bactériolit dans la fiente, quand on épandait, les odeurs étaient très présentes. Maintenant, 75 % des odeurs ont disparu. 
Nous n’achetons plus que du Bactériolit, Bactériosol en appoint et économiquement on s’y retrouve. Le coût à l’hectare des intrants a diminué.

 

Je veux installer mes enfants dans de bonnes conditions et après, je compte sur eux pour continuer. Nous avons fait les bons choix, et en plus, ensemble. "
 

Résultats

Ils utilisent du Bactériolit pour valoriser leurs fumiers et et du Bactériosol en appoint pour la fertilisation des terres.

 

  • En herbe, on produit autant en bio qu’en conventionnel.
  • Meilleure qualité de l'herbe.
  • Les prairies restent vertes plus longtemps.
  • Meilleure santé du troupeau (plus de problèmes respiratoires et moins de diarrhées).
  • On nettoie beaucoup moins souvent les litières.
  • Sur un hectare de prairie naturelle : autant de marge qu’en céréales.
  • PH plus régulier.
  • Grâce à la SOBAC, nous pouvons utiliser la fiente de nos poules comme amendements.
  • Meilleur enracinement.