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Témoignages et résultats

Témoignage
Jean-marc Penon, maraîcher
Jean-Marc Penon
Ce changement dans mes pratiques m’a apporté un confort et un plus économique.
Maraîcher
2022
Villeneuve-sur-Verberie
60410
Oise

Culture/Production

Installé depuis 2005 sur l’exploitation familiale. L'exploitation : 10 ha de SAU, soit 3,2 ha de légumes plein champ dont 4 000 m2 sous abri froid et 1000 m2 sous abri chauffé. De la pomme de terre au melon, une soixantaine de cultures. Le reste en céréales, maïs.

Produit/Usage

  • Bactériosol concentré (depuis 2015) / Pour augmenter la fertilité des sols naturellement.
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Témoignage

S’il fait de la vente directe et sert plusieurs restaurants, Jean-Marc Penon fait aussi trois marchés, deux à Senlis et un à Pontoise où il arbore l’affichette SOBAC. Pour lui c’est simple, avec BACTÉRIOSOL, il résout beaucoup de problèmes.

Jean-Marc Penon

« Après 4 ans de réflexion, j’ai commencé en 2015 avec une utilisation en plein champ sur 3 ha à 250 kg et dans toutes les serres. L’année 2016 a été dramatique en aléas climatiques (pluies, froid). Dans la partie plein champ, les rendements ont été désastreux comme partout, mais j’ai pu faire une nette différence avec la partie sous abri, où là c’était très marquant que BACTÉRIOSOL était actif. Ça vivait, les plantes avaient tout à leur portée dès la première année. L’idée que ce sont les bactéries et les microorganismes qui amènent la vie du sol m’avait plu d’emblée.

 

Il n'y a plus de carences sur les tomates, en magnésium plus de blocages

 

Je prends souvent l’exemple de la tomate, plante gourmande en magnésium. Depuis l’emploi de BACTÉRIOSOL il n’y a plus aucune carence sans apporter de magnésium. Alors qu’avant on apportait jusqu’à 120 kg de magnésie. 

On a un feuillage beaucoup plus vigoureux et un beau calibre des fruits. BACTÉRIOSOL apporte la tranquillité et comme la plante ne manque naturellement de rien, elle n’est pas stressée. En tomates, sur 300 m2, on fait environ 4 tonnes. Avant SOBAC on avait déjà des tomates qui avaient du goût mais on a gagné en qualité.
En tomates, j’ai augmenté en rendement, les micro-organismes travaillent pour nous. Quand je vois la superposition de cultures que je fais, salades, tomates, trois cultures dans l’année avec seulement BACTÉRIOSOL, c’est surprenant de répondre à toutes les exigences.
 

Au niveau maladies, sur les tomates, je ne fais pas de traitements, à part vraiment sur la fin l’oïdium.
Les plantes sont vigoureuses et résistantes. Les tomates sont plus belles qu’avant. Par rapport à tout ce que j’amenais avant, maintenant c’est BACTÉRIOSOL qui gère.
La petite carence qu’on peut constater en cours de végétation, avant ça aurait été catastrophique. Je n’ai jamais pu conduire les tomates comme je les conduis aujourd’hui. C’est une certitude. Maintenant c’est le sol qui répond.
 

Toutes les cultures sont exigeantes mais les besoins d’une tomate sont énormes. C’est pour cela que j’insiste autant sur cette culture.
On fait de la fraise hors-sol et on apporte BACTÉRIOSOL dans les coussins de fraises, c’est un plus sur le goût. Sur les pommes de terre, ça se passe bien.

 

De beaux volumes de salades

 

Sur les blés et maïs il y a aussi une satisfaction. Je diminue de 30 % l’apport d’azote sur la grande culture. Je fais le maïs et le blé pour les rotations, pour casser le cycle des maladies. Cette année, on est à 107 qtx en maïs mais c’est général, en ayant seulement mis 150 unités d’azote.

 

Au niveau sanitaire, je pense que BACTÉRIOSOL a un effet favorable pour enrayer certaines maladies qui sont stockées dans le sol. On a de beaux volumes de salades en appliquant rarement des fongicides.

 

D’une terre à une autre, le goût du légume va être différent. Avec BACTÉRIOSOL, l’expression du terroir est peut-être plus nette. On nous dit que nos légumes ont du goût et je dis aux clients que j’emploie BACTÉRIOSOL.
Les clients sont très investis aujourd’hui dans les pratiques culturales, ils ont besoin de savoir. Je mets l’affichette SOBAC sur les marchés. Ce changement dans mes pratiques m’a apporté un confort et un plus économique. C’est important de se démarquer des autres.
C’est un confort de travail. Avec BACTÉRIOSOL, je résous beaucoup de problèmes et c’est facile pour sa mise en place.

 

Il faut essayer de respecter au mieux la nature. J’ai arrêté les apports de phosphore, potasse, magnésium et j’ai réduit les apports d’azote.
Dans tout ce qui est cultures sous abri, c’est là qu’on sollicite le plus le sol parce qu’on superpose des cultures. Et quand on voit comment ça répond aujourd’hui, on se dit qu’on est sur le bon chemin. »
 

Résultats

  • Plantes plus résistantes
  • Beau calibre des fruits
  • Meilleur rendement
  • Pas de traitements sur les tomates
  • Des fruits et légumes plus goûteux