Témoignages et résultats

M-C Bénard : « Nous avons commencé par un essai sur une parcelle de 10 hectares, sur ces terres argileuses qui étaient tassées voire bloquées, on a vu revenir la souplesse et la porosité. L’herbe s’est améliorée au niveau de sa diversité, on note un meilleur démarrage de la végétation et elle repart plus vite dès qu’il y a un peu d’eau. 

J’ai toujours été sensible à l’écologie. Les produits de la SOBAC me sont tout de suite apparus comme naturels et il fallait essayer. J’ai toujours été « anti-engrais chimiques » mais il faut bien produire de l’herbe, et de la bonne, pour nos chevaux ».

J-C Fortin : « Aujourd’hui, nous pouvons dire que nos chevaux vont bien. Les zones de refus sont moins importantes dans les herbages. Cette année, les juments sont magnifiques.  
Nous avons intérêt à être le plus autonome possible et si nous pouvons valoriser nos fumiers et les épandre, c’est très intéressant pour nous.

Nous avons remarqué une meilleure résistance en période de sécheresse, ça reste vert plus longtemps

M-C B. : « J’ai envie de laisser quelque chose de bien à nos enfants et il convient de travailler intelligemment pour ne pas tout détruire. Nous étions déjà observateurs de notre sol. On se dit aujourd’hui qu’on ne lui fait pas de tort. Le but c’est quand même de continuer à améliorer notre outil ».

J-C F. : « Nous avons de beaux chevaux cette année et leur alimentation est de bonne qualité. La SOBAC est un élément d’une réflexion globale que nous avons eu et nous en sommes contents.

Cette année nous avons eu des soins vétérinaires limités

La plupart des éleveurs, au vu des problèmes qu’ils rencontrent, ont pris conscience du fait que la qualité des prairies est essentielle. Les éleveurs équins sont plus réceptifs aux méthodes naturelles. Ils savent à quel point la qualité de l’herbe se répercute sur les qualités physiques et squelettiques des chevaux. Ce que je veux, ce sont de belles prairies avec de beaux chevaux dedans ! Si en plus on respecte la nature, c’est formidable ».

M-C B. : « Personnellement je me sens plus en harmonie avec ma philosophie de vie, au plus près de la nature ». 

J-C F. : « Si la qualité est supérieure, nous avons probablement aussi un peu plus d’herbe mais c’est dur à définir car les prairies sont exclusivement pâturées et optimisées au maximum. Ici, nous n’avons que 7 ou 8 centimètres de terre végétale et avec le concept SOBAC qui accélère la création d’humus j’espère bien voir cette couche augmenter dans un proche avenir ».

M-C B. : « Je pense que nous sommes sur le bon chemin. Nous sommes en train d’harmoniser l’ensemble, surtout maintenant en valorisant nos fumiers ».