Témoignage Marina et Jérôme Bossuet Le sentiment d’être dans l’agriculture que je voulais Céréalier 2021 Saint-Hilaire la Palud 79210 Deux-Sèvres Culture/Production Marina et Jérôme Bossuet À Saint-Hilaire la Palud (Deux-Sèvres) Bio - Céréalier avec 225 ha sur deux sites : 225 ha de grandes cultures (maïs, tournesols, céréales etc.) soit 160 ha en Vienne et 65 ha enDeux-Sèvres Installé depuis 2010 après avoir travaillé avec ses parents. Utilisateur depuis 2017 Produit/Usage Bactériosol concentré (depuis 2017) / Pour augmenter la fertilité des sols naturellement. Témoignage Jérôme Bossuet avait prit une première fois deux big-bag de BACTÉRIOSOL pour mettre au printemps avec les tournesols mais il n’avait pas continué. « Ça ne devait pas être le moment » dit-il. Il est aujourd’hui convaincu à 100%. « Il y a 3 ans j’ai revu un technico-commercial de SOBAC qui m’a invité à aller à une journée portes ouvertes où il y avait un profil de sol à Saint-Saturnin du Bois. La structure du sol, l’homogénéité sur la profondeur, les galeries de vers de terre, la régulation du pH, tout cela m’a fait basculer. Parce que là, on avait les résultats sous les yeux. J’ai donc, très vite, ensemencé toute ma surface en BACTÉRIOSOL, sur mes 2 sites. 3 points d’écart en pH, c’est énorme ! Le 1er septembre dernier, nous avons fait un profil de sol sur mon exploitation et en pH je variais de 7,5 à 7,8 sur les 2 mètres de profondeur alors que chez le voisin ça variait de 6,5 à 9,8. Il y a 3 points d’écart chez lui et 0,3 chez moi, c’est énorme. Pour l’enracinement, je descendais à 1,80 m quand lui plafonnait à 80 cm. J’étais en conventionnel jusqu’en octobre 2017 et maintenant je suis en bio. Depuis longtemps déjà je ne faisais qu’un seul fongicide. Après ce profil de sol chez moi, ça m’incite bien évidemment à continuer. J’appréhendais un peu, j’avais peur du résultat qui est au final au-delà de mes espérances. « Un gain de temps incomparable » Le problème de la fertilisation en bio c’est l’azote. Avec BACTÉRIOSOL quand j’ai du temps, en une journée, j’ensemence 70 ha. C’est un gain de temps incomparable par rapport aux composts.* L’eau s’infiltre mieux dans les sols, il y a un meilleur drainage. Elle ne stagne plus comme avant. Je suis dans ma 4ème année avec SOBAC et la terre est beaucoup plus souple, plus facile à travailler. Pas étonnant quand chez moi il y a 1 080 galeries de vers de terre contre 300 dans la fosse témoin ! On a l’impression de marcher sur de la moquette. J’espère qu’on va continuer à améliorer la qualité des sols. J’ensemence 100 kg/ha tous les ans. Ce n’est pas plus cher que l’épandage d’un compost et c’est tellement plus simple. J’ai remarqué que les maïs résistaient mieux à la sécheresse, ils restent verts plus longtemps. En tournesols, on voit moins les différences de terrain sur une parcelle. C’est beaucoup plus homogène. « J’avais une boule à la gorge quand j’épandais » Si je suis passé en bio et si je travaille avec des produits comme ceux de SOBAC, c’est avant tout pour ma santé. J’avais une boule au niveau de la gorge quand j’épandais des intrants chimiques dans la ferme de la Vienne que j’ai reprise après le décès de mon frère. Déjà en 2010, en désherbant une parcelle de blé j’avais eu cette boule à la gorge. Même chose avec les fongicides. Il y a un moment où le corps dit non à ces produits. Puis il y a aussi l’environnement, la planète. Ce n’est pas pour rien que je me suis mis à l’agroforesterie. L’action BACTÉRIOSOL est encore meilleure en bio puisqu’il n’y a plus de produits phytos en concurrence. Nous allons forcément améliorer notre marge. J’ai encore plein de choses à tester notamment dans la Vienne où c’était des terres d’élevage à l’origine. Mais on ne voit déjà plus les veines de terre comme on les voyait avant. J’ai le sentiment d’être dans l’agriculture que je voulais. Le pulvérisateur est rangé depuis un an et demi et c’est un vrai soulagement. »