Témoignages et résultats

" En 2009, Mickaël, qui avait toujours conduit son exploitation de façon " classique " (N,P,K, chaulage), découvre la SOBAC. Séduit par le concept, il commence à utiliser  Bactériosol et Bactériolit sur ses composts de fumier.

Comme vous le savez dans le milieu équin, les fumiers de box sont très pailleux et secs, d’où la nécessité de les composter afin d’obtenir une bonne décomposition ". 

Je n’en revenais pas du développement des champignons et de la qualité du compostage

Les premiers résultats ne se font pas attendre : " Quinze jours après épandage du Bactériolit sur mes 2 andains de fumier, je constatais déjà une évolution incroyable de l’andain. Puis, quatre semaines plus tard, nous avons fait le point avec le technicien SOBAC. Je n’en revenais pas du développement des champignons et de la qualité du compostage. Avant, il fallait retourner 2 fois l’andain (ce qui a un coût !), et là, en 6 semaines et avec un seul retournement, même le fumier tout juste sorti des box était bon à épandre. "

L’herbe est plus dense, plus fournie, et présente un meilleur en-racinement

Nous avons mis les chevaux au pré 2 mois après l’épandage du fumier traité au Bactériolit. Là, et les futurs utilisateurs s’en rendront compte par eux-mêmes, nous avons constaté une meilleure homogénéité de l’appétence de l’herbe, et donc une disparition de toutes les zones de refus que l’on connaît si bien avec les chevaux.

Après ce premier test très concluant, nous avons définitivement adopté le Bactériolit, mais avons amélioré son épandage. Par commodité, et pour une meilleure répartition du produit sur la litière, nous l’épandons maintenant juste avant curage. Ainsi, nous avons carrément pu supprimer le passage du retourneur d’andain, ce qui sur une année nous fait faire une économie non négligeable.

Actuellement, nous utilisons le Bactériolit sur l’ensemble de nos fumiers, le Bactériosol sur nos parcelles de céréales éloignées. Cette année, nous avons décidé de faire un pas de plus avec la SOBAC vers l’autonomie alimentaire et la bonne qualité nutritionnelle de nos fourrages, en implantant des prairies 10 plantes.

De manière générale, je constate que l’herbe est plus dense, plus fournie, et présente un meilleur  enracinement. Tout cela se traduit par des plantes plus toniques, plus résistantes. Le foin est naturel, il ne contient pas d’éléments chimiques, et c’est autant de toxines en moins dans le sang de mes chevaux !

Nous avons constaté une disparition de toutes les zones de refus que l’on connaît si bien avec les chevaux

Ce qui pour moi a été déterminant dans mon choix du concept SOBAC, c’est l’aspect environnemental, mais également l’aspect sanitaire. Grâce aux produits SOBAC, j’ai des fourrages plus équilibrés et mieux assimilés, ce qui se traduit tout naturellement par une meilleure santé de mes chevaux, en particulier les poulinières et les poulains, qui ont un meilleur développement physique.

Mickaël conclut par cet encouragement aux futurs utilisateurs « Même si nous avons l’impression de faire un effort financier au début, on s’y retrouve très vite dans la qualité de vie et la santé de nos animaux, et dans la qualité de notre environnement pour les générations futures ! "