bandeau image
icon-temoignage

Témoignages et résultats

Témoignage
arangaray-nadine-et-joel-eleveuses-brebis-laitieres-pyrenees-atlantique-jpg
Nadine et Joëlle Arangaray
Nos fourrages sont exceptionnels
Éleveuses de brebis laitières
2018
Barcus
64130
Pyrénées-Atlantiques

Culture/Production

Nadine Arangaray est éleveuse de brebis laitières, en Gaec avec sa fille, Joëlle à Barcus dans les Pyrénées Atlantique.

 

L'exploitation : 79 hectares dont 64 ha en prairies 420 brebis laitières de race Lacaune, 120 agnelles de renouvellement.

Produit/Usage

  • Bactériolit (depuis 2012) / Pour valoriser les effluents d'élevage
0

Témoignage

André, le mari de Nadine, décédé en 2008, s’était installé en 1987 sur l’exploitation et dès 2005, il s’était intéressé au concept SOBAC. Nadine et sa fille Joëlle ont voulu suivre la ligne dans laquelle il s’était engagé. Elles ne le regrettent pas.

En 2012, j’ai fait des travaux sur la bergerie et nous avions des soucis avec les émanations d’ammoniac. Quand on sortait le fumier c’était intenable. Je voulais améliorer l’ambiance pour ceux qui y travaillaient et aussi pour les bêtes. 
Nous avons mis du Bactériolit sur les litières en 2012 et nous avons très vite vu la différence. Les yeux qui piquent, c’est fini!

 

Il n’y a plus d’ammoniac, plus d’odeur et sur le tas de fumier, on voit que ça se décompose plus vite avec ces filaments blancs qui se forment et les champignons qui poussent

 

C’est un grand confort pour tout le monde. Sur le troupeau, nous avons beaucoup moins de problèmes pulmonaires. Avant, on avait chaque année vingt ou trente brebis qui lâchaient pour des problèmes respiratoires et aujourd’hui, c’est une ou deux.
Notre souci était avant tout environnemental. Nous avons des terrains très pentus et ce n’était pas facile d’y aller au printemps pour épandre. Déjà que pour les foins c’est compliqué… Maintenant nous faisons moins de passages sur les pâtures et nous avons juste à épandre le fumier ensemencé avec Bactériolit à l’automne. 

 

Au niveau protéines, les analyses sont meilleures

 

Très vite, nous avons constaté une amélioration de la qualité des fourrages. Les analyses, au niveau protéines, sont meilleures. Au niveau des prairies, sur le regain, nous sommes à 16 de protéines. Il y a même des troisièmes coupes où nous sommes à 18 de protéines.
Pendant les fêtes de Tardets, le jour de la foire aux fromages, il y a un concours de fourrages et nous étions premiers. L’augmentation de la qualité des fourrages est très nette et les parcelles restent vertes toute l’année. Il y a une meilleure résistance à la sécheresse. Au niveau de la qualité du lait c’est pareil, à la fromagerie des Chaumes, ils sont très contents ».


Joëlle : « J’ai fait un Bac S puis un BTS ACSE, suivi d’une formation brebis laitières et transformation fromagère. Bien sûr que c’est important d’aller dans cette direction. Nous essayons à notre niveau de travailler pour la sauvegarde de la planète. Je ne sais pas si ça sera suffisant… ».

 

Nadine :

 

Il y a une plus grande homogénéité d’une année sur l’autre

 

L’an dernier, il y avait peu de foin au départ mais nous avons fait de très bons regains. Nous sommes autonomes en foin, nous achetons juste un peu de luzerne. Je suis contente d’avoir arrêté le maïs ensilage. C’est un vrai confort d’être tout en prairies. 

 

Le compagnon de Nadine : « Je n’y croyais pas trop au départ. Mais la disparition de l’ammoniac dans la bergerie, c’est incroyable. De par mon métier, je vois des bergeries toute la journée et la différence est énorme ». 

 

Victor, salarié sur l’exploitation : « Je ne connaissais pas la SOBAC avant de venir ici. Avant, dès qu’on touchait au fumier, on pleurait. Il y a un bien-être qui s’installe partout, que ce soit à notre niveau ou à celui des bêtes ».

 

Nadine : « Nous avons affaire à un technicien qui est convaincu de la qualité du Bactériolit. C’est humainement quelqu’un d’ouvert et il voit bien la différence sur les analyses. Nos fourrages sont exceptionnels ».

 

Résultats

Elles utilisent du Bactériolit pour valoriser les effluents d'élevage et obtenir une décomposition plus rapide des fumiers.

 

  • Moins d'odeurs d'ammoniac
  • Décomposition plus rapide du fumier
  • Confort de travail
  • Beaucoup moins de problèmes pulmonaires
  • Moins de passages
  • Amélioration de la qualité des fourrages, gain de protéines
  • Meilleure résistance à la sécheresse
  • Qualité du lait
  • Homogénéité d'une année sur l'autre