Résultats Comment optimiser et intensifier son système par l’amélioration de la production et de la qualité des fourrages ? 2023 1500 litres de lait en plus par hectare Brémoy 14260 Calvados 1. LE CONTEXTE // un système polyculture-élevage Etude réalisée dans une exploitation bovin lait du Calvados. Découvrez le descriptif du GAEC dans le témoignage de Nicolas LEGENTIL. 2. LES OBJECTIFS Stabiliser le système en place et pallier le manque de main d’œuvre à venir Anticiper le départ en retraite des parents Recentrer l’élevage sur le site principal S’orienter vers l’autonomie fourragère, sécuriser le système Valoriser au maximum les effluents d’élevage avec BACTÉRIOLIT pour limiter les intrants sur l’exploitation. Afin d’atteindre ces objectifs, les associés se sont rapprochés de SOBAC et depuis 2014, ils ont mis en place BACTÉRIOLIT sur l’ensemble de leur exploitation. 3. ÉVOLUTION DE L’EXPLOITATION entre 2010 et 2019 Évolution du système et des données technico-économiques Avec de gros changements structuraux en 2020, il a été choisi de faire un comparatif jusqu’en 2019 afin de garder une comparaison représentative. Les changements entre ces deux périodes ont été globalement : une baisse de la SFP et une augmentation des surfaces allouées aux cultures de ventes. Et ce, avec un troupeau laitier qui est passé de 111 à 120 vaches laitières. Retours et évolutions technico-économiques sur l’atelier lait + d'infos sur le BACTÉRIOLIT CONCLUSION : La mise en place du concept SOBAC sur l’exploitation a contribué à l’amélioration de la fertilité naturelle des sols avec comme conséquence une amélioration de la production et de la qualité des fourrages. Ces changements ont garanti aux éleveurs l’intensification de leur système tout en demeurant efficients en alimentation, entraînant un gain de production en autonomie sur leurs surfaces fourragères. Toutes ces améliorations ont ainsi fait progresser la rentabilité globale de l’exploitation. Le travail avec Bactériolit a permis de valoriser au maximum le potentiel fertilisant des effluents apportés sur les surfaces fourragères, optimisant ainsi la production de fourrages. Bactériolit a aussi contribué au développement d’une flore diversifiée et équilibrée dans les sols, garantissant ainsi de meilleurs échanges sol-plante et donc des fourrages riches et équilibrés. Toutes ces améliorations ont eu pour effet de nourrir plus d’animaux, de produire plus de lait par hectare de SFP et d’augmenter la rentabilité.